Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film No Country for old men – Non, ce pays n’est pas pour le vieil homme.
Anton : C’est quoi le plus gros que vous ayez perdu à pile ou face ?
Commerçant : Quoi ?
Anton : Le plus gros que vous ayez perdu à pile ou face ?
Commerçant : Je sais pas du tout…
Anton : Annoncez.
Commerçant : J’annonce ?
Anton : Oui.
Commerçant : Mais qu’est-ce qu’on parie ?
Anton : Annoncez.
Commerçant : Mais… Il faudrait savoir sur quoi on parie.
Anton : Il faut que vous annonciez. Je vais pas le faire à votre place, ce serait pas juste.
Commerçant : J’ai rien parié, j’ai rien misé…
Anton : Bien sûr que si. Vous avez passé toute votre vie à parier sans le savoir. Vous savez de quelle année elle est cette pièce ?
Commerçant : Non.
Anton : 1958. Cette pièce a mis 22 ans à arriver ici. Et maintenant elle est là. Et c’est pile ou face. À vous de jouer. Annoncez.
Commerçant : C’est-à-dire qu’il faudrait que je sache ce qu’il y a à gagner.
Anton : Tout.
Commerçant : C’est-à-dire ?
Anton : C’est-à-dire tout, annoncez !
Commerçant : D’accord. Face alors ?
Anton : Bien joué !
Shérif Bell : Vous connaissez Charlie Waser qui a cet élevage du côté d’Anderson ? Bref. Dans le temps pour tuer les bœufs, il les frappait là avec une masse avant de les attacher et de les égorger. Un jour, il venait d’en ligoter un et il s’apprêtait à le saigner, quand il s’est mis à se débattre et à tout saccager. Près d’une tonne et demie de vache particulièrement enragée si je puis dire ainsi. Charlie attrape son arme et tire une balle dans la tête. Mais avec tout le chamarre que fait l’autre, il le rate et voilà la balle qui ricoche et vient se planter là, juste dans son épaule. Depuis ce jour, Charlie est incapable de lever le bras droit. Tout ça pour vous dire que même dans un combat entre un homme et un animal, l’issue est toujours incertaine.
Carson : Est-ce que tu te rends compte à quel point tu es fou ?
Anton : Tu parles de la nature de cette conversation ?
Carson : Je parle de ta nature à toi.
Shérif Bell : Quand on ne dit plus ni monsieur, ni madame, c’est le début de la fin.