Wonder Woman.

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Résumé.

Diana Prince est une Amazone qui a la tâche d’arrêter Arès, le dieu de la guerre. Lorsque le pilote et soldat Steve s’écrase sur l’île, elle découvre le monde extérieur qui est en pleine guerre mondiale.

Casting.

Diana Prince / Wonder Woman : Gal Gadot (VF : Ingrid Donnadieu).
Steve Trevor : Chris Pine (VF : Emmanuel Garijo).
Reine Hippolyte : Connie Nielsen (VF : Marjorie Frantz).
Générale Antiope : Robin Wright (VF : Juliette Degenne).
Sir Patrick Morgan : David Thewlis (VF : Gabriel Le Doze).
Général Erich Ludendorff : Danny Huston (VF : Jochen Hägele).
Isabel Maru / Docteur Poison : Elena Anaya (VF : Élisabeth Ventura).
Charlie : Ewen Bremner (VF : Jean-François Vlérick).
Etta Candy : Lucy Davis (VF : Véronique Alycia).
Menalippe : Lisa Loven Kongsli (VF : Nadine Girard).
Sameer : Saïd Taghmaoui (VF : Mustapha Abourachid).
Chef : Eugene Brave Rock (en) (VF : Philippe Vincent).

Affiches.

Images.

Le saviez-vous ? Anecdotes et coulisses.

Wonder Woman est tiré des comics du personnage du même nom créé par William Moulton Marston en 1941.

Le projet débute en 1996. Il faudra attendre 2014 pour que les studios Warner Bros. annoncent son univers cinématographique pour relancer le projet.

Pendant un temps, Joss Whedon a été attaché au projet.

Le titre de tournage du film était Nightingale.

Kate Beckinsale, Sandra Bullock, Catherine Zeta-Jones, Sarah Michelle Gellar, Angelina Jolie, Jessica Biel, Eva Green, Kristen Stewart et Olga Kurylenko ont été envisagées pour le rôle de Diana Prince ; Nicole Kidman pour celui d’Hippolyta.

Gal Gadot a suivi un entraînement de six mois pour se préparer pour son rôle.

La scène sur le bateau entre Diana et Steve parlant « des plaisirs de la chair » a été improvisée.

Le tournage s’est déroulé du 13 novembre 2015 au 9 mai 2016 en Italie et en Angleterre.

Notre critique de Wonder Woman.

Découverte plus tôt dans le DCEU, il est donc temps de découvrir qui est l’héroïne des Amazones.

Retour donc dans le passé et déjà en terme d’ambiance, c’est bien plus fort. En effet, la technologie n’est pas là et on plonge en pleine Première Guerre Mondiale. De ce fait, vu que l’histoire se fait à travers les yeux de Diana, on va avoir droit à plusieurs séquences émouvantes en découvrant toutes les conséquences des conflits : les ravages des armes, les traumatismes, les blessés, les ordres donnés des bureaux envoyant des gens mourir… À travers tout ça est donc abordé les travers de l’humanité et cela donne une confrontation entre une vision de paix et une de guerre. L’intrigue est ainsi parfaitement écrite, ne tombant jamais dans le travers de trop en faire. Tout est mesuré pour savourer pleinement avec un enchaînement des péripéties et surtout nous faire poser des questions sur l’âme humaine, sur ce que les Hommes sont capables de faire mais aussi contrebalancé avec l’espoir, l’envie de changer les choses. On assiste à un sans faute sur le scénario et ça fait plaisir à voir.

Le film repose aussi énormément sur les épaules de Gal Gadot. Cette dernière est impressionnante et très convaincante car elle incarne à la fois la guerrière, la reine, celle destinée pour tuer Arès mais aussi la fragilité, la découverte du monde, la souffrance… On est face à un personnage complexe qui va voir sa vision du monde changer à plusieurs reprises. Steve, le pilote, est un espion attachant car il a foi en ce qu’il fait et il connait les conséquences de ses actes. Il sert de guide à Diana en lui montrant ce qu’est l’humanité tout en voulant arrêter la guerre par tous les moyens. Pour le grand méchant, Arès, il peut prendre n’importe quelle forme et on s’interroge sur qui il est et ça donne quelque chose de fascinant. Le métrage dispose aussi de seconds rôles intéressants même si on aurait aimé en profiter davantage.

Nouvelle venue dans le DCEU pour mettre sur grand écran une nouvelle super-héroïne. Le travail est plus que rempli avec une réalisation idéale qui reprendre l’esprit sombre de Snyder au début de la saga tout en apportant bien plus d’émotions à travers plusieurs séquences touchantes. Ces dernières sont aussi bien équilibrées que les séquences d’action. En effet, on ne tombe pas dans l’excès même dans le combat final qui a souvent tendance à « vriller » dans les films d’action. L’immersion d’époque est idéale et ça nous change des dernières productions DC Comics. Très bon point aussi sur les effets visuels finalement pas si nombreux que ça pour ce genre de films. Enfin, la bande originale est savoureuse et arrive à apporter du renouveau qui reflètent l’évolution de la mentalité de l’Amazone.

Wonder Woman est un régal qui permet de nous faire découvrir une nouvelle héroïne talentueuse campée par une excellence Gal Gadot.