Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film The Mask.
Stanley Ipkiss : Vous savez Madame Bonpoil ?
Madame Bonpoil : Quoi ?
Stanley Ipkiss : Non, c’est rien.
Madame Bonpoil : C’est tout à fait ce que vous êtes, Ipkiss , un moins que rien !
Stanley Ipkiss : C’est toi mégère que j’aurais du mettre au garage pour une vidange ! C’est ça que j’aurais du lui dire.
The Mask : Splendide !
The Mask : C’est moi la rubrique des chiens écrasés !
The Mask : Je crois que ce martien veut communiquer.
Voyou : Dis donc mec, t’as l’heure s’te-plait ?
The Mask : Tu tombes bien mon loulou, j’ai remonté ma pendule. Regarde ! Dans deux secondes je te fais couiner le nez et je fous ton calebar sur la tête.
The Mask : Et pour toi beauté, il reste ma spécialité : la sulfateuse ! C’est incroyable. Ces nouveaux pouvoirs vont faire de moi un super héros ! Et je vais devenir le protecteur des innocents, le défenseur de la paix mondiale !
Stanley Ipkiss : C’est pas croyable…
Mitch Kellaway : C’est votre pyjama qu’est pas croyable.
Charlie Schumaker : Toi ce qu’il te faut c’est une fille qui a les pieds sur terre, une fille honnête, une fille avec… avec des cheveux roux, une bouche, une bouche sensuelle, un chemisier blanc, une veste verte et son nom sur un badge.
Stanley Ipkiss : Dis donc le choix est assez restreint non ?
Peggy Brandt : Si vous aviez comment c’est si difficile de trouver un homme fidèle dans cette ville. La plupart croit que la monogamie c’est un jeu télévisé.
The Mask : Quand on veut être chic, il faut avoir du fric. Je m’arrête à la banque !
The Mask : Tu… Tu m’as eu… Billy… Hi, ha, hou ! Hou, ha, hi ! Ha ! Ha ! Haaa… Serre-moi fort, Johnny… C’est l’dernier rayon d’soleil… Dis à Annie que j’ai pensé à elle jusqu’à la fin… Dis à Tiny Tim que son papa ne rentrera pas pour Noël… Dis à Scarlett que ce n’est pas le cadet d’mes soucis ! Oh, Pardon.
Doyle : De très grandes lunettes noires.
Policier : Une trompe de vélo.
Doyle : Une petite carpe, une quille, une tapette à souris.
Policier : Un poulet en caoutchouc
The Mask : Allez-y c’est au fond à gauche, là c’est ça oui.
Doyle : Drôle de truc. Des lunettes de cotillon.
The Mask : C’est la première fois que je vois ces lunettes.
Policier : Un bazooka
The Mask : J’ai un permis pour ça.
Doyle : Mme Kellaway en photo.
Mitch Kellaway : Quoi ? Margaret ! Où t’as eu ça espèce de fumier ?
The Mask : Charles, voyons, où est votre sens de l’humour ? Après tout, tu l’as épousé non ?
The Mask : Je suis Sancho de Cuba.
J’ai le sang chaud pour la Rumba.
En jouant des maracas.
Je fais tchik tchiki boum tchik tchiki boum.
C’est moi Sancho le Cubain.
La coqueluche de tous les voisins.
Et puis quand je danse.
Tout redevient tchik tchiki boum tchik tchiki boum.
Les señoritas elles chantent, elles dansent comme ça elles balancent.
Comme c’est charmant.
Plein de piment
La fièvre de la Rumba.
Si elle te prend, ne résiste pas.
Comme une fille qui s’offre à toi.
Si tu aimes le tempo.
Vient donc danser avec Sancho.
Et tu chanteras tchik tchiki boum tchik tchiki boum.
Policière : Je suis sa Paquita. Car ce gars c’est le roi de la Havana, de la Havana.
The Mask : Si Señorita très chic.
Caramba tchiki boum tchik.
Policiers : Il est charmant. Plein de piments.
The Mask : Je pose mes mains sur tes hanches.
Madremia t’en as de la chance.
C’est une bataille.
Petite canaille.
Aïe aïe aïe !
Si tu aimes le tempo.
Vient donc danser avec Sancho.
Et tu chanteras tchik tchiki boum tchik tchiki boum.
Hey. Hey. Hey. Hey
Hasta la vista !
The Mask : L’orange c’est la santé ! Ici, c’est moi qui fait la loi, c’est clair ? Alors faites pas chier !
The Mask : Petit, tu es doué, très doué, mais tant que je serais dans le métier, tu ne seras jamais que le second.
