Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Casino Royale.
M : Et nom de Dieu ! Comment avez-vous su où j’habite ?
James Bond : Comme j’ai appris votre vrai nom. Je croyais que M avait été choisi au hasard. J’ignorais que…
M : Rien qu’une syllabe de plus et je vous fais exécuter.
M : Bond, je ne peux pas demander à un bulldozer de comprendre ça mais l’arrogance et l’introspection font rarement bon ménage.
James Bond : Vous voudriez que je me fasse mi-tueur mi-moine ?
M : Tout voyou peut tuer. Je ne veux plus que votre ego fasse partie de l’équation.
M : Je vous demanderais bien de faire preuve de détachement émotionnel mais je crois pas que ce soit votre problème, je me trompe ?
James Bond : Non.
Vesper Lynd : Je suis le porte-monnaie.
James Bond : On en a pour son argent.
Vesper Lynd : Alors si charismatique que vous soyez, Monsieur Bond, je compte bien veiller de près sur l’argent du gouvernement plutôt que sur votre exceptionnel petit cul.
James Bond : Vous avez remarqué.
James Bond : Oh, détails de dernière minute. Apparemment nous sommes très amoureux.
Vesper Lynd : Et vous laissez souvent les portiers vous informer de ces choses la ?
James Bond : Seulement quand l’histoire d’amour vient à peine de commencer. Je suis monsieur Harlington Beach, parieur professionnel, et vous êtes miss Stéphanie gros seins et…
Vesper Lynd : C’est pas vrai !
James Bond : Va falloir me faire confiance.
Vesper Lynd : Alors là, surtout pas.
James Bond : Nous sommes ensemble depuis un moment. Nous partageons donc une suite.
Vesper Lynd : Et ma famille est strictement catholique alors pour les apparences nous aurons une suite avec chambre séparée.
James Bond : J’ai horreur que la religion s’interpose à ce point là.
Vesper Lynd : La religion et une porte fermée à double tour. Dois-je m’attendre à un problème avec vous, Bond ?
James Bond : Non, aucun risque, vous n’êtes pas mon type.
Vesper Lynd : Perspicace ?
James Bond : Célibataire.
Vesper Lynd : Prenez le suivant. Il n’y a pas assez de place pour moi et votre égo.
James Bond : Pour vous.
Vesper Lynd : Je suis censée porter ça ?
James Bond : Je veux que vous soyez fabuleuse. Quand vous arriverez derrière moi pour m’embrasser dans le cou, je voudrais que tous mes adversaires pensent à votre décolleté et pas à leurs jeux. Vous pourrez faire ça pour moi ?
Vesper Lynd : Je ferais de mon mieux.
James Bond : Merci.
(…).
James Bond : J’ai déjà un smoking !
Vesper Lynd : Oui mais il y a smoking et il y a smoking. Celui-ci en est un. Et moi je voudrais que vous soyez comme chez vous à cette table.
James Bond : Comment… c’est du sur-mesure.
Vesper Lynd : Je sais. Je vous ai calculé immédiatement.
René Mathis : Comment va la fille ? A-t-elle fait fondre votre cœur de pierre ?
James Bond : Vodka Martini.
Barman : Au shaker ou à la cuillère ?
James Bond : Qu’est-ce que j’en ai à foutre.
James Bond : Je crois que je vais l’appeler Vesper.
Vesper Lynd : Parce qu’il a un arrière goût amer ?
James Bond : Non. Parce qu’une fois qu’on l’a goutté, on n’a envie de rien d’autre.
Le Chiffre : Je n’ai jamais compris tous ces supplices élaborés. Il n’est rien de plus aisé que de faire souffrir un homme jusqu’au point de non retour. Et bien sûr, à la douleur subite s’ajoute le fait que l’on sait que si on ne se soumet pas assez vite, on ne sera peut-être même plus identifiable en tant qu’homme. Une seule question demeure : vous soumettrez-vous à temps ?
James Bond : Maintenant, le monde entier saura que c’est en me grattant les couilles que vous êtes mort.
Vesper Lynd : Écoute James, je voulais que tu saches que même s’il ne restait de toi que ton sourire, ou que ton petit doigt, tu resterais pour moi le seul homme digne de ce nom.
James Bond : Ça c’est parce que tu sais comment je peux me servir de mon petit doigt.
Vesper Lynd : Je n’en ai aucune idée.
James Bond : Mais tu meurs d’envie de le savoir.
Vesper Lynd : Tu ne vas pas t’ouvrir à moi, n’est-ce pas. Tu viens de remettre ton armure. C’est comme ça.
James Bond : Cette fois je n’ai plus d’armure, tu me l’as arraché à jamais. Et quoi qu’il reste de moi, oui, quoi qu’il reste de moi, quoi que je sois, je t’appartiens.
James Bond : Comme tu l’as dit, quand on fait mon boulot trop longtemps, il ne reste pas grand chose de son âme à sauver. Et je préfère partir avec le peu qu’il me reste.
James Bond : Je m’appelle Bond, James Bond.