Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Gladiator.
Maximus : Force et honneur.
Maximus : À mon signal, déchaîne les enfers.
Maximus : Dans trois semaines, je moissonnerai mes terres. Imaginez où vous voudriez être et vous y serez. Tenez la ligne. Restez avec moi. Si vous vous retrouvez tout seul, chevauchant dans de verts pâturages avec le soleil sur le visage, n’en soyez pas troublés. Car vous êtes aux Champs Élyséens et vous êtes déjà morts ! Ce que l’on fait dans sa vie résonne dans l’éternité.
Marc Aurèle : Et qu’est-ce que Rome, Maximus ?
Maximus : J’ai vu beaucoup du reste du monde. Il est brutal, et cruel, et sombre. Rome est la lumière !
Marc Aurèle : C’est que tu n’y es jamais allé ! Que tu n’as pas vu ce qu’elle est devenue. Je suis mourant, Maximus. Quand un homme sent sa fin proche, il se demande si sa vie a eu un but. Comment le monde prononcera-t-il mon nom dans les siècles à venir ? Vais-je passer pour un philosophe, un guerrier, un tyran ? Ou parlera-t-on de moi comme l’empereur qui a rendu enfin Rome à elle-même ?
Marc Aurèle : Je veux que tu deviennes le protecteur de Rome à ma mort. Je t’en donnerai les moyens dans un but unique : rendre le pouvoir au peuple de Rome et en finir avec la corruption qui la fait dépérir. Ne vas-tu donc pas accepter le grand honneur que je te fais ?
Maximus : De tout mon cœur, non.
Marc Aurèle : Maximus… Voilà pourquoi il faut que ce soit toi.
Lucilla : La vie est plus simple pour un soldat ou me crois-tu sans cœur ?
Maximus : Je te crois un don pour survivre.
Maximus : Père bien-aimé. Veille sur ma femme et mon fils, l’épée à la main. Murmure leur que je ne vis que pour les retrouver.
Marc Aurèle : Ma décision te déçoit ?
Commode : Tu m’as écrit autrefois quelles sont les quatre vertus majeures : sagesse, justice, force morale et tempérance. Quand j’ai lu cette liste, j’ai su que je n’en avais aucune. Mais j’ai d’autres vertus, Père. L’ambition, qui est bien une vertu quand elle conduit à exceller. L’ingéniosité, le courage, peut-être pas sur les champs de bataille, mais… ol y a plusieurs formes de courage. Le dévouement, à ma famille et à toi. Mais aucune de mes vertus n’était sur ta liste. Et même là tu te comportes comme si tu ne voulais pas de moi pour fils.
Marc Aurèle : Oh Commode, tu vas trop loin.
Commode : J’ai cherché sur les visages des dieux les moyens de te plaire, de te rendre fier. Un seul mot tendre, une seule étreinte où tu m’aurais pressé contre ton cœur et serré très fort aurait été comme un soleil dans mon cœur pour des siècles et des siècles. Mais qu’est-ce qu’il y a en moi que tu hais tant ?
Marc Aurèle : Oh Commode…
Commode : Tout ce que j’ai voulu c’est vivre selon tes vœux, César… Père.
Marc Aurèle : Commode, tes fautes de fils sont mes défaillances de père !
Commode : J’aurais massacré le monde entier si seulement tu m’avais aimé !
Quintus : Chevauchez jusqu’à l’aube et exécutez-le.
Maximus : Quintus regarde-moi, regarde-moi ! Promets-moi que tu veilleras sur ma famille.
Ta famille va te rejoindre dans l’autre vie.
Proximo : Je suis Proximo ! Je serai plus proche de vous pendant les prochains jours qui seront les derniers de votre misérable vie, que votre salope de mère qui vous a fait hurler en vous mettant au monde. Je n’ai pas payé cher pour votre compagnie, j’ai payé cher le droit de profiter de votre mort. Et comme votre mère a accompagné vos premiers pas, moi, j’accompagnerai vos derniers. Quand vous mourrez, et vous allez mourir, votre passage se fera au son des… Gladiateurs, je vous salue.
Proximo : Enfoncez-ça dans la chair d’un autre homme et ils vont vous applaudir et vous aimez pour ça. Et vous, vous pouvez vous mettre à les aimer pour ça. En fin de compte nous mourrons tous, nous ne pouvons malheureusement pas choisir notre mort mais nous pouvons décider comment aller à sa rencontre, afin que l’on se souvienne de nous comme des hommes.
Gracchus : Le véritable cœur de Rome n’est pas dans le marbre du sénat, il est dans le sable du Colisée. Il va leur apporter la mort et ils vont l’aimer pour ça.
Maximus : N’êtes-vous pas rassasiés ? Ne vous-êtes vous pas assez divertis ? N’êtes-vous pas là pour ça ?
Proximo : Le jeune empereur a organisé une série de spectacles pour rendre hommage à son père Marc Aurèle. Je trouve cela amusant, puisque c’est Marc Aurèle, le sage, le puits de science Marc Aurèle, qui nous avait interdit. Et finalement, au bout de cinq années passées à survivre dans des villages infestés de puces, nous retournons finalement dans la maison-mère. Le Colisée. Oh, si tu savais ce qu’est le Colisée, l’Espagnol. Cinquante mille Romains, les yeux rivés sur chaque mouvement de ton épée, t’encourageant à mettre ce tueur à mort. Le silence avant que tu frappes et le bruit lorsque tu l’as fait. Il éclate et il s’élève soudain comme… comme… comme une tempête. Comme si tu étais le dieu du tonnerre lui-même.
Maximus : Tu étais gladiateur ?
Proximo : Oui, je l’étais.
Maximus : Tu as gagné ta liberté ?
Proximo : Il y a longtemps, l’empereur me fit cadeau d’un rudius. C’est… juste une… une épée de bois. Le symbole de ta liberté. Il… Il me la posa sur l’épaule, et j’étais libre.
Maximus : Tu as connu Marc Aurèle ?
Proximo : Je n’ai jamais dit que je l’avais connu, j’ai dit qu’il m’avait touché l’épaule une fois !
Maximus : Tu m’as demandé ce que je voulais. Je veux moi aussi être amené devant l’empereur, comme toi.
Proximo : Alors écoute-moi. Apprends de moi. Je n’étais pas le meilleur parce que je tuais plus vite. J’étais le meilleur parce que la foule m’aimait. Gagne la foule et tu gagneras ta liberté.
Maximus : Je gagnerai la foule. Je lui donnerai quelque chose qu’elle n’a jamais vu.
Proximo : Ha ! Alors, l’Espagnol, nous irons à Rome ensemble ! Et nous aurons des aventures sanglantes ! Et la grande putain nous allaitera jusqu’à ce nous soyons si gras et si heureux que nous ne la tèterons plus. Et ensuite, quand assez d’hommes seront morts, peut-être auras-tu ta liberté.
Juba : Pourrai-je jamais les revoir ? Je ne crois pas.
Maximus : Tu crois que tu pourras les revoir après ta mort ?
Juba : Je le crois. Mais moi, je mourrai bientôt. Elles ne mourront que dans plusieurs années. Je devrais attendre.
Maximus : Mais tu le feras ? Tu attendras ?
Juba : Bien sûr.
Maximus : Tu vois… Ma femme et mon fils sont déjà en train de m’attendre.
Juba : Tu vas les revoir. Mais pas encore. Pas encore. Ouais…
Maximus : Pas encore. Pas encore.
Gladiateurs : Ave, César ! Ceux qui vont mourir te saluent !
Maximus : Quel que soit ce qui va sortir de là, nous avons plus de chance de survivre si nous combattons ensemble. Vous avez compris ? Si nous restons ensemble, nous survivrons.
Commde : Quel est ton nom ? Tu as bien un nom, tout de même.
Maximus : Mon nom est Gladiateur.
Commode : Comment oses-tu me tourner le dos ? Esclave, tu vas retirer ton casque et me dire comment tu te nommes !
Maximus : Mon nom est Maximus Decimus Meridius, commandant en chef des armées du Nord, général des légions Phoenix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurèle. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassinée et j’aurai ma vengeance, dans cette vie ou dans l’autre.
Maximus : Ma femme et mon fils ont été crucifiés et brûlés vifs.
Lucilla : Je l’ignorais totalement…
Maximus : Ne me mens pas !
Lucilla : J’ai pleuré pour eux.
Maximus : Comme tu as pleuré pour ton père ? Comme tu as pleuré pour ton père ?
Lucilla : J’ai vécu dans une prison de peur depuis ce jour-là. Ne pas pouvoir pleurer son père par peur de son frère. Vivre dans la terreur, chaque moment de chaque jour parce que son fils est l’héritier du trône. Oh, j’ai beaucoup pleuré.
Maximus : Mon fils était innocent.
Lucilla : Comme l’est le mien. Mon fils doit-il mourir pour que tu me fasses confiance ?
Maximus : Quelle importance ça a que je te fasse confiance ou non ?
Lucilla : Les dieux t’ont épargné. Ne comprends-tu pas ? Aujourd’hui, j’ai vu un esclave devenir plus puissant que l’empereur de Rome.
Maximus : Les dieux m’ont épargné ? Je suis à leur merci, avec comme seul pouvoir d’amuser la plèbe.
Lucilla : C’est le pouvoir. La plèbe, c’est Rome. Et tant que Commode la contrôle, il contrôle absolument tout. Écoute-moi. Mon frère a des ennemis, la plupart dans le Sénat. Mais tant que le peuple est avec lui, personne n’a osé s’élever contre lui avant toi.
Maximus : Il a des opposants, mais ils ne font rien.
Lucilla : Il y a quelques hommes politiques qui ont consacré leur vie à Rome. L’un d’eux plus que tout autre. Si j’organise une rencontre, tu veux bien le voir ?
Maximus : Tu n’as donc rien compris ? Je peux mourir dans cette cellule ce soir, ou dans l’arène demain ! Je suis un esclave ! Comment pourrais-je changer quelque chose en ce monde ?
Lucilla : Cet homme veut ce que tu veux.
Maximus : Alors fais qu’il tue Commode !
Lucilla : J’ai connu un homme autrefois. Un noble esprit. Un homme de principes qui aimait mon père. Et mon père l’aimait. Cet homme-là servait bien Rome.
Maximus : Cet homme n’est plus. Ton frère a bien fait son travail.
Lucilla : Laisse-moi t’aider.
Maximus : Oui. Tu peux m’aider. Oublie que tu m’as jamais connu et ne reviens jamais ici.
Juba : Tu as un nom célèbre. Il lui faut tuer ton nom avant de te tuer toi.
Proximo : Il sait trop bien comment manipuler la plèbe.
Maximus : Marc Aurèle avait un rêve qui s’appelait Rome Proximo ! Ce n’est pas ça, Ce n’est pas ça !
Proximo : Marc Aurèle est mort, Maximus. Nous mortels ne sommes qu’ombre et poussière, ombre et poussière !
Commode : Que vais-je faire de toi ? Tu ne veux donc pas mourir ? Sommes-nous si différents, toi et moi ? Quand il le faut, tu prends la vie des autres. Comme moi.
Maximus : Aujourd’hui, je n’ai plus qu’une vie à prendre, et j’en aurai fini.
Commode : Alors prends-la tout de suite.
Commode : On m’a dit que ton fils a crié comme une fille quand on l’a cloué sur la croix. Et ta femme… gémit comme une putain quand ils l’ont ravagée, encore et encore et encore.
Maximus : Le temps de t’honorer touchera bientôt à sa fin. Altesse.
Maximus : Tu peux acheter ma liberté et me faire sortir secrètement de Rome ?
Gracchus : À quelles fins ?
Maximus : Fais-moi sortir de l’enceinte de la cité, procure-moi de chevaux près à m’emmener à Ostie. Mon armée est campée là. Au soir de la deuxième journée, je reviendrai à la tête de cent mille hommes.
Lucilla : Mais toutes les légions ont de nouveaux commandants, fidèles à Commode.
Maximus : Laissez mes hommes me voir vivant et vous saurez où va leur fidélité
Gracchus : C’est de la folie ! Aucune armée romaine n’est entrée dans la capitale depuis cent ans.
Lucilla : Gracchus !
Gracchus : Je ne vais pas échanger une dictature pour une autre !
Maximus : Le temps des demi-mesures et des discours est révolu, sénateur.
Gracchus : Et après ton glorieux coup, que feras-tu ? Ty prendras tes cinq mille guerriers et tu partiras ?
Maximus : Je partirai. Les soldats resteront pour ta protection, sous le commandement du Sénat
Gracchus : Ah bon ? Une fois que tout Rome t’appartiens, je vais croire que tu vas la rendre au peuple ? Dis-moi pourquoi.
Maximus : Parce que c’était la dernière volonté d’un mourant. Je vais tuer Commode. Le sort de Rome, je te le laisse.
Gracchus : Marc Aurèle t’a fait confiance. Sa fille te fait confiance. Je te ferai confiance. Mais nous avons peu de temps. Donne-moi deux jours et j’achèterai ta liberté. Et toi, reste en vie.
Commode : Et que faire de mon neveu ? Et que faire de sa mère ? Doivent-ils partager le sort de son amant ? Ou dois-je me montrer clément ? « Commode le Clément ». Lucius va rester avec moi, maintenant. Et si sa mère s’avise ne serait-ce que de me regarder d’une façon qui ne me convienne pas, il mourra. Si elle décide d’avoir une attitude noble et met fin à ses jours, il mourra. Quant à toi, tu vas m’aimer comme je t’ai aimée. Tu vas me donner un héritier de sang pur pour que Commode et sa descendance règnent pendant mille ans. Ne suis-je pas d’une grande clémence ? Ne suis-je pas d’une grande clémence ?
Commode : Maximus. Maximus. Maximus. Ils te réclament. Le général qui est devenu un esclave. L’esclave qui est devenu un gladiateur. Le gladiateur qui a défié un empereur. Une histoire extraordinaire. Maintenant, le peuple veut savoir comment elle se termine. Quelle plus belle fin qu’une mort illustre et quoi de plus glorieux que de défier l’empereur lui-même dans la grande arène ?
Maximus : Tu te battrais avec moi ?
Commode : Pourquoi pas ? Tu crois que j’ai peur ?
Maximus : Je crois que tu as eu peur toute ta vie.
Commode : Contrairement à Maximus l’invincible, qui ne connaît pas la peur ?
Maximus : J’ai connu un homme qui a dit un joue : « La mort nous sourit à tous. Tout ce qu’on peut faire, c’est sourire à la mort ».
Commode : Je me demande si ton ami a souri à sa propre mort ?
Maximus : Tu dois le savoir. C’était ton père.
Commode : Tu aimais mon père, je le sais. Mais moi aussi. Ce qui fait de nous des frères, n’est-ce pas ? Souris-moi, maintenant, mon frère.
Lucilla : Est-ce Rome vaut la vie d’un homme de bien ? Nous l’avons cru autrefois. Il faut le croire à nouveau. Il était un soldat de Rome. Honorez-le.
Juba : Maintenant, nous sommes libres. Et nous nous reverrons. Mais pas encore. Pas encore.
