Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Inception.
Cobb : Qu’y a-t-il de plus résistant comme parasite ? Une bactérie, un virus, un ver solitaire ? Une idée. Des plus résistantes et contagieuses. Une fois que l’idée s’est installée dans l’esprit, il est presque impossible de l’éradiquer. Une idée arrivée à maturité, à intelligibilité, elle s’enracine là-dedans, quelque part.
Cobb : Inutile de le menacer dans un rêve. Enfin… Mal.
Mal : Cela dépend de la nature de la menace. Le tuer provoquerait un simple réveil. Mais la souffrance… c’est dans la tête la souffrance.
Cobb : Je contrôle la situation.
Arthur : Ça donne quoi quand tu la contrôles pas ?
Arthur : Imaginons que je vous sème une idée dans votre crâne. Si je vous dit : « Ne pensez pas à des éléphants », à quoi vous pensez ?
Saito : Des éléphants.
Arthur : Oui, mais ce n’est pas votre idée parce que vous savez qu’elle vient de moi. Le cerveau du sujet peut toujours retrouver la source de l’idée. La vraie inspiration est impossible à falsifier.
Cobb : Je ne fais que ce que je sais faire, ce que tu m’as appris.
Miles : Je ne t’ai sûrement pas appris à voler.
Cobb : C’est vrai, tu m’as appris à sillonner l’esprit humain.
Cobb : Apparemment, on utilise qu’une infime partie de notre potentiel cérébral mais quand on est éveillé. Quand on est endormi, l’esprit est capable d’à peu près tout.
Ariane : C’est-à-dire ?
Cobb : Imaginez que vous dessinez un immeuble, d’accord ? Vous en créez consciemment chaque aspect. Mais on se demande par moment s’il ne se créé pas tout seul, si vous voyez ce que je veux dire.
Ariane : Oui, comme si je le découvrais.
Cobb : C’est ça, l’inspiration authentique. Durant le rêve, l’esprit fait ça continuellement. Nous créons et percevons notre monde simultanément et notre esprit s’en sort si bien que nous nous en rendons même pas compte.
Cobb : Les rêves, ils font vrais tant qu’on est dedans pas vrai ? C’est qu’au réveil qu’on remarque qu’ils avaient quelque chose d’étrange. Une petite question. Vous ne vous souvenez jamais vraiment du début de vos rêves, n’est-ce pas ? Vous atterrissez systématiquement au milieu de l’action.
Ariane : C’est juste, oui.
Cobb : On est arrivé comment ici ?
Cobb : Parce que construire un rêve à partir de souvenirs, c’est radical pour perdre toute notion de ce qui est réel et de ce qui est rêvé.
Arthur : Cobb savait que tu reviendrais.
Ariane : Oui, bon… j’ai tenté de résister mais…
Arthur : Mais il n’y a rien qui vaille cela.
Ariane : C’est vraiment de la pure création.
Eames : Ils viennent tous les jours ici pour dormir ?
Marchand de sommeil : Non, c’est pour être réveillé qu’ils viennent. Désormais leur rêve est leur réalité.
Ariane : Qui sera prêt à endurer un rêve de dix ans ?
Yusuf : Faut voir quel rêve.
Ariane : Pourquoi tu t’infliges ça ?
Cobb : C’est le seul moyen que j’ai de rêver encore.
Ariane : Ça a quoi de si important de rêver ?
Cobb : On est toujours ensemble dans mes rêves.
Cobb : Elle avait mis quelque chose sous clé. Quelque chose d’enfoui. Une vérité qu’elle avait su autrefois et avait choisi d’oublier. Les limbes sont devenus sa réalité.
Mal : Tu attends un train. Un train qui doit te conduire au loin. Tu sais où tu espères que ce train te conduira, mais tu n’en as aucune certitude. Mais tu t’en moques parce que vous serez ensemble.
Eames : N’ayons pas peur de rêver un peu plus gros, chéri.
Cobb : Je suis spécialiste d’un genre de sécurité tout à fait particulier. Je protège les subconscients.
Fisher : Autrement dit les rêves.
Arthur : Ce qui pousse le subconscient à chercher le rêveur. Donc moi. Vite, embrasse-moi.
Ariane : Il nous regarde encore.
Arthur : Qui ne tente rien n’a rien.
Cobb : Une idée, c’est comme un virus. Des plus résistantes. Des plus contagieuses. Et la moindre graine d’idée peut germer et en germant elle peut te caractériser ou te détruire.
Mal : La plus petite des idées telle que « notre monde n’est pas réel ». Une petite pensée de rien du tout qui change tout.
Mal : Sauf que la seule chose à laquelle tu crois encore c’est moi.
Cobb : J’aimerais tant. Ça serait mon vœu le plus cher. Hélas je ne peux plus t’imaginer dans toute ta complexité, toute ta perfection, toute ton imperfection.
Cobb : Ton absence m’est insupportable. On aura bien vécu tous les deux mais il faut que je renonce à toi.