Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Jumanji.
Achats.
Benjamin : Et si un jour quelqu’un déterre la malle.
Caleb : Puisse Dieu avoir pitié de lui.
Alan : « Jumanji. Un jeu pour tous ceux qui espèrent laisser derrière eux leur univers. Lancez les dés pour déplacer votre pion. Un double donne le droit de rejouer. Le premier qui arrive au bout a gagné ». Tu veux jouer ?
Sarah : « Elles volent la nuit, mieux vaut s’enfuir. Ces choses ailées ne font pas rire ».
Alan : « Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivreras ».
Sarah : « Une piqûre et on se gratte, on éternue, on se contracte ».
Peter : « Difficile sera cette mission, les singes ralentissent l’expédition ».
Judy : « Aventuriers, méfiez-vous. Ne commencez que si vous avez l’intention de finir. Les effets saisissants de ce jeu ne cesseront que lorsque l’un des joueurs aura atteint Jumanji et prononcez son nom ».
Peter : « Ses crocs sont tranchants, il aime votre goût. Il vaut mieux vaut prendre vos jambes à votre cou ».
Judy : Ça ça ne me plait pas beaucoup.
Peter : Judy, j’ai entendu quelqu’un.
Judy : Ce n’est pas un vrai Peter, c’est une hallucination.
Alan : Est-ce que l’un de vous a fait un 8 ou un 5 ?
Judy : Lui.
Alan : Aaaaah ! Merci, merci, merci, merci, merci, merci, merci, merci ! Merci ! Pardon si je t’ai fait peur, pardon si je t’ai fait peur ! Merci ! Je suis revenu ! Maman ! Papa ! Je suis là ! Je suis revenu ! C’est moi, c’est moi, Alan ! Maman, papa ! Je suis revenu ! Tu es ma petite soeur ?
Judy : Non. Je suis Judy et lui c’est Peter.
Alan : Où est maman ? Papa est à la fabrique ?
Judy : Vous êtes… Alan Parrish ?
Alan : Oui. Qui êtes-vous ?
Judy : On habite ici.
Alan : Où sont ma mère et mon père ?
Judy : On ne sait pas. La maison est restée inhabitée pendant des années. Tout le monde vous croyait mort.
Alan : Les singes ! Les singes !
Carl : Il a une araignée au plafond ?
Alan : Est-ce que l’un de vous deux sait conduire ? Non ? Bon c’est pas grave. Mon père me laissait toujours reculer la voiture dans l’allée. Enfin, quelque fois. Une fois. Non mais c’est pas la mer à boire.
Judy : Mets ta ceinture…
Alan : C’est parti !
Alan : Oh merci ! Plus de feuilles de bananiers, terminé. Oh oui !
Alan : Vous trouvez que les singes, les moustiques et les lions sont redoutables ? Ce n’est que le début. J’ai vu des choses que tu n’as vu que dans tes cauchemars, des choses que tu ne peux même pas imaginer, des choses que tu ne peux même pas voir. Il y a des choses qui rôdent autour de toi, la nuit. Soudain tu entends un hurlement. Puis tu les entends manger. Et là, tu pries Dieu de ne pas être le dessert. La peur ? Mais tu ne sais même pas ce que c’est que la peur. Je te jure que tu ne tiendras pas cinq minutes sans moi.
Peter : Bon alors ? Tu vas jouer avec nous ?
Alan : Je vous regarderai. Mais je n’ai pas peur.
Alan : Deux de ces pièces sont les vôtres, d’accord ? À qui sont les autres ? Moi j’avais l’éléphant. Vous jouez la partie que j’ai commencé en 1969. Je vais devoir jouer.
Alan : Nous recherchons quelqu’un qui vivait dans cette maison.
Sarah : Désolé, j’ai vécu ici toute ma vie.
Judy : Alors vous devez connaître Sarah Whittle.
Sarah : Qu’est-ce que vous lui voulez à Sarah Whittle ?
Alan : Sarah ?
Sarah : Non, je ne me sers plus de ce nom.
Alan : Sarah Whittle ?
Sarah : Que voulez-vous ?
Alan : Il y a 26 ans, vous avez bien joué à un jeu avec un petit garçon du quartier ? Un jeu où il y avait des tambours.
Sarah : Comment savez-vous ça ?
Alan : Ce petit garçon c’était moi, Sarah.
Sarah : Alan ?
Peter : Tu l’as tué.
Alan : Mais c’était bien réel. Bien réel.
Sarah : Non, non, non. C’est pas possible, Alan. Ton père t’a assassiné et t’a coupé en petits morceaux.
Alan : Sarah, réfléchis. Mon père aurait fait ça ? C’est à peine s’il était capable de me prendre dans ses bras. Alors me découper ? En petits morceaux ? Il y a 26 ans, nous avons commencé à jouer à un petit jeu. Et maintenant nous allons tous nous asseoir et nous allons finir la partie. Et tu sais quoi ? C’est à toi de jouer.
Sarah : « Elles poussent plus vite que le bambou. Prenez garde ou elles se lanceront sur vous ».
Alan : « Un chasseur venu de sauvages contrées fait de toi un enfant apeuré ».
Van Pelt : Misérable lâche ! Tôt ou tard il faut affronter son adversaire !
Sarah : T’aurais pu le dire qu’il viendrait un type qui pratique la chasse à l’homme.
Alan : Ah oui mais j’en savais rien d’accord. Ce sont les dés qui décident.
Judy : C’est à cause de lui que tu voulais pas jouer ?
Sarah : Quoi ? Toi non plus tu ne voulais pas jouer ? Tu as bonne mine avec ton « On a commencé un jeu il y a 26 ans et maintenant on va le finir ».
Judy : « N’allez pas croire que c’est le tonnerre, restez là vous coûterait très cher ».
Judy : « Une loi de Jumanji a été violée. Encore plus que votre pion vous reculerez ».
Sarah : Tu as essayé de tricher ?
Peter : Non j’ai seulement essayé de faire tomber les dés pour qu’ils fassent un 12.
Sarah : Oh je vois, chéri. C’est ce qu’on appelle tricher.
Sarah : Tu viens de voir passer trois singes sur une moto, hein Judy ?
Judy : Oui.
Sarah : C’est bien chérie.
Alan : J’ai l’impression d’être chez moi tout d’un coup.
Sarah : On devrait peut-être jouer ailleurs.
Alan : Non, j’ai grandi là-dedans. C’est ce qu’il y a dehors qui me fait peur.
Sarah : « À chaque pleine lune et en toute saison, il y aura la mousson, sur ton lagon ». La mousson. On est à l’abri en tout cas.
Alan : Oui c’est ça…
Sarah : Bof. Une petite pluie, ça peut pas faire de mal.
Alan : Non mais une grosse ça peut tuer.
Sarah : Alan, tu as lutté avec un alligator pour moi ?
Alan : C’était un crocodile. Les alligators n’ont pas cette petite frange sur les pattes arrières.
Alan : Bon ben c’est mon tour. J’ai trouvé ! Le Colonel Moutarde, dans la cuisine avec le chandelier ! Le Cluedo.
Sarah : « Prends garde où tu mets les pieds à présent, plus que le sable le sol est mouvant ».
Judy : « Retiens cet enseignement : un coup annule parfois le précédent ».
Alan : Merci Judy, merci. C’est ce qui s’appelle réagir vite. Sarah et moi on aimerait bien sortir du plancher.
Sarah : Je croyais t’avoir encore perdu.
Alan : C’est gentil d’être rester là cette fois.
Peter : « Besoin d’un coup de main, elles arrivent tout de suite, elles vont vous aider, chacune en a huit ».
Judy : Aaaaaah !
Alan : Quoi, qu’est ce qu’il y a ? Qu’est-ce que c’est ?
Sarah : Rien !
Alan : Bah oui, mais on fait pas « Aaah ! » pour rien !
Sarah : « L’heure est grave tu es presque arrivé, mais voilà que le sol se met à trembler ».
Alan : Notre seule chance, c’est de finir la partie !
Van Pelt : Pas un geste ! Allez debout ! Qu’as-tu dans la main ? Lâche ça ! C’est la fin mon petit bonhomme, les jeux sont faits. Commence à courir.
Alan : Non.
Van Pelt : Tu n’as pas peur ?
Alan : Je suis terrifié. Mais un jour mon père m’a dit : « Tu dois toujours surmonter ta peur et faire face ».
Van Pelt : À la bonne heure. Enfin tu te conduis en homme. Un dernier mot ?
Alan : Jumanji.
Sam : Nous en parlerons demain, d’homme à homme.
Alan : Et pourquoi pas de père à fils ?