Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Le seigneur des anneaux : le retour du roi.
Gollum : Mon précieux ! Ils nous ont maudits. Meurtriers qu’ils nous ont appelés. Ils nous ont maudits et ils nous ont chassés. Gollum ! Gollum ! Gollum ! Goll… Et nous avons pleuré, mon précieux. Nous avons pleuré d’être si seuls. Et nous avons oublié la saveur du pain, le bruissement des arbres et la caresse du vent. Nous avons même oublié notre propre nom. Mon…précieux…
Saroumane : Vous avez mené bien des guerres et tué nombre d’hommes, Roi Théoden. Et vous avez tout de même fait la paix ensuite. Ne pouvons-nous tenir conseil comme nous l’avons fait jadis, mon vieil ami ? Ne pouvons-nous faire la paix vous et moi ?
Theoden : Nous ferons la paix. Oui nous ferons la paix, lorsque vous répondrez de l’embrasement de l’Ouestfolde et des enfants qui gisent sans vie. Nous ferons la paix lorsque les vies des soldats, dont les corps furent dépecés devant les portes de Fort le Cor alors qu’ils étaient morts, seront vengés ! Lorsque vous pendrez à un gibet pour le plaisir de vos propres corbeaux. Là nous serons en paix !
Gimli : Ce sont bien les nains qui aiment nager avec les jolies femmes poilues !
Legolas : Je sens quelque chose. Un picotement au bout des doigts. Je crois que ça me fait de l’effet.
Gimli : Qu’est-ce que je disais ? Il ne tient pas l’alcool !
Legolas : La partie est finie.
Aragorn : Aucune nouvelle de Frodon ?
Gandalf : Non. Rien. Pas un mot.
Aragorn : Nous avons le temps. Chaque jour Frodon se rapproche du Mordor.
Gandalf : Comment le savoir ?
Aragorn : Que vous dit votre cœur ?
Gandalf : Que Frodon est en vie. Oui, oui, il est vivant.
Eowyn : Quelles heure est-il ?
Aragorn : Pas encore l’aube.
Eowyn : J’ai rêvé que je voyais une immense vague recouvrant les vertes terres et mêmes les collines. Je me tenais tout au bord. Il faisait totalement noir dans les abysses devant mes pieds. Une lumière brillait derrière moi. Je ne pouvais me retourner. Je ne pouvais que me tenir là et attendre.
Aragorn : La nuit brouille les pensées. Dormez Eowyn. Dormez. Tant que vous le pouvez.
Legolas : Les étoiles sont voilées. Quelque chose s’agite à l’Est. Une malveillance à l’affut. L’œil de l’ennemi avance.
Gandalf : Il n’y avait pas de mensonges dans les yeux de Pippin. C’est un crétin… mais un crétin honnête au moins.
Merry : Il m’a toujours suivi où que j’aille. Bien avant que nous soyons inséparables. Pourtant je l’ai plongé souvent dans les pires ennuis. Mais j’ai toujours été là pour l’en sortir. Le voilà parti, tout comme Frodon et Sam.
Aragorn : Il y a une chose que j’ai apprise sur les hobbits : ils sont les plus intrépides.
Merry : Oui, imprudent même. C’est un Touque.
Arwen : Vous avez le don de voyance, dites-moi ce que vous avez vu ?
Elrond : J’ai regardé ton avenir et j’y ai vu la mort.
Arwen : Vous y avez-vu aussi la vie. Vous avez vu qu’il y avait un enfant. Vous avez vu mon fils.
Elrond : Ce futur est presque révolu.
Arwen : Mais il n’est pas perdu !
Elrond : Rien est certain.
Arwen : Si père, certaines choses le sont. Si je le quitte aujourd’hui, je le regretterais toute la vie. Il est temps.
Arwen : Des cendres le feu sera ranimé. De l’ombre la lumière jaillira. Reforgée sera la flamme qui a été brisée. Le sans couronne sera à nouveau roi. Reforgez l’épée. Ada.
Elrond : Tes mains sont si froides. La vie des Eldar t’abandonne.
Arwen : C’était mon choix. Ada. Que vous le vouliez ou non, désormais il n’y a aucun bâteau qui puisse m’emmener loin d’ici.
Pippin : C’est l’arbre ! Gandalf ! Gandalf !
Gandalf : Oui, l’Arbre Blanc du Gondor. L’Arbre du Roi. Toutefois le Seigneur Denethor n’est pas le roi. Il n’est que l’Intendant, le gardien du trône. Écoutez attentivement : le Seigneur Denethor est le père de Boromir. Il n’est guère sage de lui apporter des nouvelles de la mort de son fils bien-aimé. Et ne faites pas mention de Frodon ou de l’Anneau. Et ne dites rien sur Aragorn. En fait, il serait mieux que vous ne parliez pas du tout, Peregrin Touque.
Gandalf : Tout est devenu vaine ambition. Il se cache même derrière son chagrin. Cette cité a tenu mille ans. Et aujourd’hui à cause de la lubie d’un fou, elle va tomber. L’Arbre blanc, l’Arbre du Roi ne fleurira jamais.
Pippin : Pourquoi le garde-t-il ?
Gandalf : Ils le gardent parce qu’ils espèrent. Ils ont le pâle et faible espoir qu’il refleurira un jour, qu’un roi viendra et que cette cité sera comme elle était avant de tomber en ruine. L’ancienne sagesse de l’Ouest a été abandonnée. Les rois ont construits des tombes plus belles que les maisons des vivants et chéri le nom de leurs ancêtres plus que celui de leur fils. Des seigneurs sans descendance sont assis dans de vieilles salles, méditant sur leur blason ou dans des hautes et froides tours interrogeant les astres. Ainsi le peuple du Gondor courut à la ruine. La lignée royale échoua. L’Arbre Blanc se dessécha. Les rênes du Gondor furent confiés à de simples mortels.
Pippin : C’est si tranquille.
Gandalf : Oui c’est ce qu’on appelle le calme avant la tempête.
Pippin : Je ne veux pas aller me battre mais être dans l’attente d’une bataille à laquelle je ne peux échapper c’est encore pire. Y a-t-il de l’espoir, Gandalf, pour Frodon et Sam ?
Gandalf : Il n’y a guère d’espoir, un espoir de fou.
Gandalf : Nous y sommes enfin. La grande bataille de notre temps.
Gandalf : L’échiquier est en place, les pièces avancent.
Aragorn : Les feux de Minas Tirith ! Les feux d’alarme sont allumés ! Le Gondor appelle à l’aide !
Theoden : Et le Rohan répondra.
Theoden : Ainsi c’est devant les murs de Minas Tirith, que sera scellé le destin de notre temps.
Gothmog : L’âge des Hommes est terminé. Le temps des Orques est arrivé.
Faramir : Souhaiteriez-vous donc que nos places eussent été échangées ? Que je sois décédé et que Boromir ait vécu ?
Denethor : Oui… Oui je le souhaiterais.
Faramir : Puisque vous êtes privés de Boromir, je ferais ce que je pourrais à sa place. Père, si je dois revenir, ayez meilleure opinion de moi.
Denethor : Cela dépendra de la manière dont tu reviendras.
Gandalf : Faramir ! Faramir ! Votre père est devenu fou ! Ne sacrifier pas votre vie sans réfléchir !
Faramir : Comment prouver mon allégeance, si ce n’est en cet instant ? C’est la Cité des Hommes de Numénor. J’offrirais ma vie avec joie pour défendre sa beauté, sa mémoire, sa sagesse.
Gandalf : Votre père vous aime Faramir. Et il s’en souviendra avant la fin.
Pippin : La maison est derrière. Le monde est devant. Nombreux sentiers ainsi je prends. À travers l’ombre jusqu’à la fin de la nuit. Jusqu’à la dernière étoile qui luit. Brumes et nuages. Noyés dans l’obscurité. Tout va se mêler. Tout va se mêler.
Eomer : Tu ne devrais pas l’encourager !
Eowyn : Toi tu ne devrais pas douter de lui.
Eomer : Je ne doute pas de son courage, mais de la portée de son bras.
Eowyn : Pourquoi est-ce que Merry devrait rester à l’arrière ? Il a autant de raisons d’aller à la guerre que vous. Pourquoi ne pourrait-il pas se battre pour ceux qu’il aime ?
Eomer : Tu en sais aussi peu sur la guerre que ce hobbit. Quand la peur prendra ses tripes, oui la peur. Quand le sang, les cris, l’horreur de la bataille feront fureur, crois-tu qu’il restera et qu’il se battra ? Non, il s’enfuira et il aura bien raison. La guerre est le domaine des Hommes, Eowyn.
Elrond : Je viens de la part d’une personne que j’adore. Arwen est mourante. Elle ne survivra pas longtemps au mal qui se répand du Mordor. La lumière de l’Étoile du soir s’éteint. Ses forces diminuent d’autant que grandit la force de Sauron. La vie d’Arwen est désormais liée au destin de l’Anneau. L’ombre est sur nous, Aragorn. La fin est proche.
Aragorn : Ce ne sera pas notre fin mais celle de Sauron.
Elrond : La guerre vous attend mais pas la victoire. Les armées de Sauron marchent sur Minas Tirith, ça vous le savez mais en secret il envoie d’autres forces qui attaqueront par le fleuve. Une flotte de bateaux pirates venant tout droit du Sud. Ils seront dans la Cité dans deux jours. Vous n’êtes pas assez nombreux. Vous avez grand besoin d’hommes.
Aragorn : Il n’y en a pas.
Elrond : Il y a ceux qui demeurent dans la montagne.
Aragorn : Des meurtriers. Des traîtres. Vous voulez les enrouleriez pour se battre ? Ils ne croient en rien et n’obéissent à personne.
Elrond : Ils obéiront au Roi du Gondor ! Andúril, la Flamme de l’Ouest forgée avec les fragments de Narsil.
Aragorn : Sauron n’aura pas oublié l’épée d’Elendil. La lame qui fut brisée doit retourner à Minas Tirith.
Elrond : L’Homme qui peut exercer le pouvoir de cette épée peu rassembler une armée plus meurtrière que celles qui ont foulé cette terre. Oubliez le rôdeur, devenez celui que vous deviez être.
Eowyn : Pourquoi faites-vous cela ? La guerre s’étend à l’Est, vous ne pouvez partir à l’aube de la bataille. Vous ne pouvez pas abandonner les hommes.
Aragorn : Eowyn…
Eowyn : Nous avons besoin de vous ici.
Aragorn : Pourquoi êtes-vous venu ?
Eowyn : Vous l’ignorez donc ?
Aragorn : Ce n’est qu’une ombre et une pensée que vous aimez. Je ne puis vous offrir ce que vous recherchez. J’ai souhaité votre bonheur dès que je vous ai vu.
Eowyn : Quels autres devoirs voulez-vous que je remplisse, mon Seigneur ?
Theoden : Des devoirs ? Non. Je veux te voir sourire à nouveau et non pleurer pour ceux dont l’heure est venue. Tu vivras pour voir ces jours renaîtrent. Alors, ne désespère pas.
Legolas : La voie est close, elle fut faite par ceux qui sont morts et les morts la gardent. La voie est close.
Aragorn : Je ne crains pas la mort.
Gimli : Voilà une chose inouïe ! Un elfe oserait aller sous terre alors qu’un nain ne l’oserait pas ?
Le roi des morts : Les morts ne tolèrent pas que les vivants passent !
Aragorn : Vous me tolérerez moi !
Le roi des morts : La voie est close. Elle fut faite par ceux qui sont morts et les morts la gardent. La voie est close. Maintenant vous allez mourir.
Aragorn : Je vous somme d’accomplir votre serment.
Le roi des morts : Il n’y a que le Roi du Gondor qui puisse me l’ordonner ! La lame a été brisée !
Aragorn : Elle a été reforgée !
Gollum : Vilain petit moucheron, pourquoi es-tu grognon ? Dans la toile emprisonné, bientôt tu seras… mangé.
Merry : Dame Eowyn ! Vous êtes belle et courageuse. Vous avez tant de raisons de vivre, et de gens qui vous aiment. Je sais qu’il est trop tard pour reculer. Et je sais qu’il n’y a plus de raison d’espérer. Si j’étais un cavalier du Rohan, capable de hauts faits, mais ce n’est pas le cas. Je ne suis qu’un Hobbit. Et je ne peux pas sauver la Terre du Milieu. Je veux seulement aider mes amis. Frodon, Sam, Pippin… J’espère plus que tout les revoir un jour.
Gandalf : Tenez bon ! Tenez bon ! Vous êtes des soldats du Gondor ! Peut importe ce qui arrivera par cette porte, vous maintiendrez vos positions !
Gandalf : Retournez à l’abîme. Tombez dans le néant qui vous attend vous et votre Maître.
Roi-Sorcier : Ne reconnais-tu pas la mort quand tu la vois, vieil homme ? Mon heure est venue !
Pippin : Gandalf !
Roi-Sorcier : Tu as échoué. Le monde des Hommes va s’effondrer.
Theoden : En avant, ne craignez aucune obscurité ! Debout, debout cavaliers de Théoden ! Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclats. Une journée de l’épée. Une journée rouge avant que le soleil ne se lève ! Au galop, au galop ! Courrez, courrez à la ruine et à la fin du monde ! À mort ! À mort ! À mort ! Pour Eorlingas !
Pippin : Je ne croyais pas que ça finirait de cette manière.
Gandalf : Finir ? Non, le voyage ne s’achève pas ici. La mort n’est qu’un autre chemin qu’il nous faut tous prendre. Le rideau de pluie grisâtre de ce monde s’ouvrira et tout sera brillant comme l’argent. Alors vous les verrez…
Pippin : Quoi Gandalf ? Voir quoi ?
Gandalf : Les rivages blancs et au-delà, la lointaine contrée verdoyante sous un fugace lever de soleil.
Pippin : Alors… ça ne va pas si mal ?
Gandalf : Non, non en effet.
Roi-Sorcier : Régale toi de sa chair.
Eowyn : Je vous tuerai si vous le touchez.
Roi-Sorcier : Ne te mets pas entre un Nazgûl et sa proie.
Gimli : Il y en a bien assez pour tous les deux. Que le meilleur des nains gagne !
Roi-Sorcier : Pauvre fou… aucun homme ne peut me tuer… Meurs !
Eowyn : Je ne suis pas un homme !
Gimli : Ça ne compte quand même que pour un !
Theoden : Je connais ton visage… Eowyn. Mes yeux se voilent.
Eowyn : Non, non car je vais vous sauver.
Theoden : Tu l’as déjà fait. Eowyn. Mon corps est brisé. Laisse-moi m’en aller. Je rejoins mes ancêtres en leur illustre compagnie je n’aurais pas honte désormais. Eowyn…
Le roi des morts : Libérez-nous.
Gimli : Mauvaise idée! Très pratique ces aides de camp, même s’ils sont morts.
Le roi des morts : Vous nous avez donné votre parole !
Aragorn : Je considère votre serment accompli. Allez, soyez en paix.
Gimli : Une mort certaine. Une faible chance de succès. Mais qu’attendons-nous ?
Aragorn : Trop longtemps tu m’as traqué. Trop longtemps je t’ai évité. Plus maintenant. Contemple l’épée d’Elendil !
Gimli : Voila qui met fin à la négociation.
Aragorn : Tenez vos positions, tenez vos positions ! Fils du Gondor et du Rohan, mes frères ! Je lis dans vos yeux la même peur qui pourrait saisir mon cœur. Un jour peut venir où le courage des hommes faillira où nous abandonnerons nos amis et briserons tout lien. Mais ce jour n’est pas arrivé ! Ce sera l’heure des loups et des boucliers fracassés lorsque l’âge des Hommes s’effondrera. Mais ce jour n’est pas arrivé ! Aujourd’hui nous combattrons pour tout ce qui nous est cher sur cette bonne terre. Je vous ordonne de tenir, Hommes de l’ouest !
Gimli : Je n’aurais jamais cru mourir au combat à côté d’un elfe.
Legolas : Et que pensez-vous de mourir aux côtés d’un ami ?
Gimli : Ah oui, ça je peux le faire.
Sam : Vous vous rappelez la Comté, monsieur Frodon ? Ce sera bientôt le printemps. Et les vergers seront en fleur. Et les petits oiseaux feront leur nid dans les coudraies. Et on sèmera l’orge du Sud dans les champs des Basses-Terres. Et on mangera les premières fraises à la crème. Vous vous souvenez des goûts des fraises ?
Frodon : Non, Sam. Je n’ai le souvenir d’aucune nourritures. Ni du chant de l’eau. Ni de la caresse de l’herbe. Je suis… Je suis nu dans les ténèbres, il n’y a aucun voile entre moi et la roue de feu. J’arrive à le voir de mes yeux éveillés.
Sam : Alors débarrassons-nous de lui, une fois pour toute ! Allez monsieur Frodon, je ne peux le porter pour vous mais je peux vous porter vous !
Aragorn : Pour Frodon.
Frodon : L’Anneau est à moi !
Sam : Non… Non… Non !
Frodon : Il a disparu ! C’est fait !
Sam : Oui, monsieur Frodon, c’est fini maintenant.
Frodon : Je vois la Comté, la rivière Brandevin, Cul-de-sac, les feux d’artifices de Gandalf, les lumières de l’arbre des fêtes.
Sam : Rosie Chaumine qui danse avec des rubans dans les cheveux. Si je m’étais marié avec quelqu’un, ç’aurait été avec elle. C’aurait été avec elle !
Frodon : Je suis heureux que tu sois ici avec moi, Sam Gamgegie. Ici à la fin de toutes choses.
Aragorn : Ce jour n’appartient pas à un seul homme mais à tous. Reconstruisons ensemble ce monde afin de pouvoir partager des temps de paix.
Aragorn : Mes amis… ce n’est pas à vous de vous incliner.
Frodon : Comment reprendre le cours de son ancienne vie ? Comment continuer, lorsque dans son cœur on commence à comprendre qu’on ne peut plus retourner en arrière. Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser. Des blessures si profondes qu’elles se sont emparées de vous.
Galadriel : Le pouvoir des Trois Anneaux s’en est allé. Le temps est venu pour la domination des Hommes.
Gandalf : Adieu, mes braves hobbits. Mon œuvre est achevée. C’est ici, sur les rives de la Mer que prend fin notre Communauté. Je ne vous dirais pas de ne pas pleurer car toutes les larmes ne sont pas un mal.
Il est temps, Frodon.
Sam : Que veut-il dire?
Frodon : On nous a envoyé sauver la Comté, Sam. Et elle a été sauvée. Mais pas pour moi.
Sam : Vous n’y pensez pas ? Vous n’allez pas nous quitter ?
Frodon : Les dernières pages sont pour toi, Sam.
Frodon : Mon cher Sam. Tu ne peux être toujours déchiré en deux. Il te faudra être un et entier pendant de nombreuses années. Tu as tant d’objets de jouissance, tant de choses à être et tant à faire. Ton rôle dans l’histoire continue.
Sam : Voilà…je suis de retour.