Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Le seigneur des anneaux : les deux tours.
Sam : Le Mordor… L’endroit précis de la Terre du Milieu qu’on ne veut pas voir de près. Le seul que l’on cherche à atteindre, c’est celui que l’on ne peut atteindre.
Gimli : Trois jours et trois nuits de poursuite sans manger ni se reposer, et aucun signe de notre gibier alors que peut bien raconter un rocher ?
Saroumane : Le monde change. À présent qui a la force de s’opposer aux armées de l’Isengard et du Mordor ? De s’opposer à la puissance de Sauron, de Saroumane et à l’union des deux tours ? Ensemble, Seigneur Sauron, nous gouvernerons cette Terre du Milieu. L’ancien monde brûlera dans les flammes de l’industrie. Les forêts tomberont. Un nouvel ordre naîtra. Nous mènerons la machine de guerre avec l’épée et la lance et la poigne de fer des Orques.
Legolas : Ils courent comme si les fouets de leurs maîtres étaient à leurs trousses.
Legolas : Un soleil rouge se lève, beaucoup de sang a dû couler cette nuit.
Eomer : Que font un homme, un elfe et un nain dans le Riddermark ? Répondez !
Gimli : Donnez-moi votre nom, dresseur de chevaux, je vous donnerai le mien.
Eomer : Je vous couperais volontiers la tête, nain, si elle sortait un peu plus du sol.
Legolas : Vous seriez mort au moindre geste !
Eomer : Cherchez vos amis mais n’ayez pas trop d’espoir. C’est peine perdue sur ces terres.
Pippin : Vous êtes de quel côté ?
Sylvebarbe : Un côté ?Je ne suis du côté de personne parce que personne n’est du mien.
Gandalf : Les ténèbres m’entourèrent et je m’égarai hors de la pensée et du temps. Les étoiles tournaient au-dessus de moi et chaque jour était aussi long qu’une existence sur la Terre. Mais ce n’était pas la fin, je sentis la vie revenir en moi. Je fus renvoyé, jusqu’à ce que ma tâche soit accomplie.
Gandalf : Gandalf le Gris, c’était mon nom. Je suis Gandalf le Blanc et je reviens vers vous en ce moment décisif.
Sylvebarbe : Nous avons perdu les Ents femmes.
Pippin : Oh je suis désolé. Comment sont-elles mortes ?
Sylvebarbe : Mortes ? Non, nous les avons perdus et nous n’arrivons plus à les retrouver.
Gimli : Et bien c’est plus gai dans un cimetière.
Theoden : Le jeune périt et le vieux s’attarde. Devrais-je vivre pour voir les derniers jours de ma lignée ?
Gandalf : La mort de Theodred n’est pas de votre fait.
Theoden : Aucun parent ne devrait avoir à enterrer son enfant.
Theoden : Je ne risquerais pas une guerre ouverte.
Aragorn : Elle est pourtant déclarée, que vous le vouliez ou non.
Gandalf : Attendez ma venue aux premières lueurs du cinquième jour, à l’aube, regardez à l’est.
Gollum : Nous le voulons. Nous en avons besoin. Nous devons avoir le précieux. Ils nous l’ont volé. Sales sournois petits Hobbits. Mauvais, perfides, faux !
Sméagol : Non, non pas le Maître !
Gollum : Si le précieux. Faux. Ils vont te duper, te faire du mal, te mentir.
Sméagol : Le Maître est mon ami.
Gollum : Non tu n’as pas d’ami. Personne ne t’aime.
Sméagol : Je n’entends rien. Je n’entends rien.
Gollum : Tu es un menteur et un voleur.
Sméagol : Non
Gollum : Meurtrier
Sméagol : Va-t’en.
Gollum : Que je m’en aille ?
Sméagol : Je te déteste. Je te déteste.
Gollum : Que serais-tu devenu sans moi. Gollum. Gollum. Je nous ai sauvé ! C’était moi. Nous avons survécu grâce à moi !
Sméagol : Plus maintenant.
Gollum : Qu’est ce que tu as dit ?
Sméagol : Le Maître veille sur nous à présent. Nous n’avons plus besoin de toi.
Gollum : Comment ?
Sméagol : Allez, va-t’en et ne reviens jamais.
Gollum : Non !
Sméagol : Va-t’en et ne reviens jamais ! Va-t’en et ne reviens jamais ! Nous… Nous lui avons dit de s’en aller! Il s’en est allé, mon précieux. Parti, parti, parti ! Sméagol libre !
Elrond : Notre temps ici est révolu. Celui d’Arwen également. Laissez-la partir. Et prendre le bateau qui va vers l’Ouest. Laissez-la emporter l’amour qu’elle a pour vous sur les terres immortelles. Il y restera vivace.
Aragorn : Mais ce ne sera pas plus qu’un souvenir.
Elrond : Je ne laisserai pas ma fille mourir ici.
Aragorn : Elle reste parce qu’elle a encore de l’espoir.
Elrond : Elle reste pour vous ! Sa place est auprès de son peuple !
Gríma : Même en cas de brèche, il faudrait être un très grand nombre, des milliers, pour prendre d’assaut la forteresse.
Saroumane : Des dizaines de milliers.
Gríma : Mais, mon Seigneur, il n’existe pas une telle armée.
Saroumane : Un nouveau pouvoir s’élève. La victoire est imminente ! Cette nuit, la terre sera souillée par le sang du Rohan ! En avant au Gouffre de Helm ! Pas de quartier ! À la guerre ! Il n’y aura pas d’aube pour les Hommes.
Gollum :Le lac est bon, fraîche est son eau, c’est délicieux ! C’que nous voulons, c’est du poisson, fort bien goûteux !
Aragorn : C’est une armée constituée dans un seul but : détruire le monde des Hommes.
Aragorn : Ils ne viennent pas anéantir les récoltes et les villages du Rohan. Ils viennent anéantir son peuple. Jusqu’au dernier enfant.
Théoden : Que voulez-vous que je fasse ? Regardez mes Hommes. Leur courage ne tient qu’à un fil. Si telle doit être notre fin, alors je ferais ce qui est en mon pouvoir pour qu’elle reste gravée dans les mémoires.
Aragorn : Vous avez besoin d’aide, mon Seigneur. Envoyez des cavaliers en quérir.
Théoden : Et qui viendra ? Les Elfes ? Les Nains ? Nous n’avons pas la chance d’avoir autant d’amis que vous. Les anciennes alliances sont mortes.
Aragorn : Le Gondor répondra.
Théoden : Le Gondor ? Où était le Gondor lorsque l’Ouestfolde est tombé ? Où était le Gondor lorsque nos ennemis nous ont encerclé ? Où était le Gon… Non, Seigneur Aragorn, nous sommes seuls. Emmenez les femmes et les enfants dans les cavernes.
Gamlin : Vos hommes, mon Seigneur, vous suivront quelque soit la fin.
Théoden : Quelque soit la fin… Où sont le cheval et le cavalier ? Où est le cor qui sonnait ? Ils sont passés comme la pluie sur les montagnes. Comme un vent dans les prairies. Les jours sont descendus à l’ouest. Derrière les collines, dans l’ombre. Comment en est-on arrivé là ?
Gimli : Mon ami, quelle que soit votre chance, pourvu qu’elle passe la nuit.
Legolas : Vos amis sont avec vous Aragorn.
Gimli : Pourvu qu’ils passent la nuit.
Gimli : Qu’est-ce qu’il se passe là-bas ?
Legolas : Dois-je tout vous décrire ? Ou vous trouvez un marche pied ?
Gimli : Legolas, et de 2 !
Legolas : Et moi j’en suis à 17 !
Gimli : Ah je ne laisserais pas d’oreilles pointues me dépasser !
Gimli : C’est bon, on peut les avoir.
Aragorn : Ils sont très loin.
Gimli : Lancez-moi.
Aragorn : Pardon ?
Gimli : Je ne peux pas sauter aussi loin alors lancez-moi ! Ne le dîtes pas à l’elfe.
Aragorn : Pas un mot.
Sylvebarbe : J’ai toujours aimé aller au sud, on a l’impression de descendre une pente.
Sylvebarbe :Nombre de ces arbres étaient mes amis. Des créatures que j’ai connues à l’état de noix et de glands.
Pippin : Désolé, Sylvebarbe.
Sylvebarbe : Ils avaient leurs voix propres. Saroumane ! Ce n’est pas digne d’un magicien. Il n’y a pas de juron en elfique, entique ou autre langage des Hommes pour qualifier cette traîtrise.
Pippin : Regardez les arbres ! Ils avancent !
Merry : Où vont-ils ?
Sylvebarbe : Ils ont à faire avec les orques. Et moi j’ai à faire en Isengard ce soir. À l’aide de roc et de pierres. Bruraroum. Venez mes petits amis. Les ents vont entrer en guerre. Il est probable que nous courrions à notre perte. La dernière marche des ents !
Theoden : Autant de morts… mais que peuvent les Hommes face à tant de haine ?
Aragorn : Venez avec moi. Venez à leur rencontre.
Theoden : Pour la mort et la gloire ?
Aragorn : Pour le Rohan ! Pour votre peuple !
Gimli : Le soleil se lève.
Theoden : Oui. Oui ! Le cor de Helm va retenir dans le gouffre une dernière fois ! Voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble. Cruauté réveille-toi ! Qu’importe le courroux, qu’importe la ruine et que l’aube soit rouge ! Pour Eorlingas !
Gandalf : Le roi Theoden fait face seul.
Eomer : Non, pas seul. Rohirrims !
Sam : C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaitre la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse. Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre. Même les ténèbres doivent passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant ! C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement. Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre. Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… Je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose.
Frodon : En quoi avons-nous foi, Sam ?
Sam : Il y a du bon en ce monde. Il faut se battre pour cela.
Legolas : Au total, 42.
Gimli : 42, ce n’est pas mal pour un principicule elfe aux oreilles pointues. Héhéhéhé, pour ma part je suis assis sur mon 43e.
Legolas : 43.
Gimli : Il était déjà mort !
Legolas : Il bougeait encore.
Gimli : Il bougeait encore parce que ma hache était enfoncée dans son système nerveux !
Gandalf : Le courroux de Sauron sera terrible, son châtiment immédiat. La bataille du Gouffre de Helm est terminée. Celle pour la Terre du Milieu ne fait que commencer. Tous nos espoirs sont désormais tournés vers deux jeunes Hobbits, quelque part dans les régions désertes.
Sam : Je me demande si toutefois nous figurerons dans les chansons ou les histoires ?
Frodon : Quoi ?
Sam : Je me demande si les gens diront un jour : « Écoutons l’histoire de Frodon et de l’Anneau ». Et je répondrais « Oh oui, c’est une de mes histoires favorites. Frodon était très courageux, n’est-ce pas Papa ? ». « Oui mon garçon, c’est le plus célèbre des Hobbits. Et ce n’est pas peu dire ».
Frodon : Tu as oublié l’un des personnages principaux : Sam Gamegie le Brave. Je veux en entendre plus sur Sam. Frodon ne serait pas aller bien loin sans Sam.
Sam : Allons Monsieur Frodon, vous ne devriez pas plaisanter. Je parle sérieusement.
Frodon : Moi aussi.
Sméagol : Le Maître… Le Maître veille sur nous. Le Maître ne nous ferait pas de mal.
Gollum : Le Maître n’a pas tenu sa promesse.
Sméagol : Pas demander à Sméagol. Pauvre, pauvre Sméagol.
Gollum : Le Maître nous a trahis ! Mauvais, perfides, faux. Nous devrions lui tordre son sale petit cou. Le tuer ! Le tuer ! Les tuer tous les deux. Puis nous prenons le précieux et nous devenons le maître.
Sméagol : Mais le gros Hobbit, il sait lui. Ses yeux m’observent tous le temps.
Gollum : Alors il n’y a qu’à le poignarder. Puis les lui arracher. Et le faire ramper.
Sméagol : Oui ! Oui ! Oui !
Gollum : Oui les tuer tous les deux !
Sméagol : Oui ! Non, non ! C’est trop risqué, c’est trop risqué.
Gollum : Nous avons qu’à la laisser faire.
Sméagol : Oui ! Elle pourrait le faire.
Gollum : Oui mon précieux, elle pourrait. Et ensuite nous on le prend une fois qu’ils sont morts.
Sméagol : Oui une fois qu’ils sont morts ! Allez venez, les Hobbits. On a encore une longue route. Sméagol va vous la montrer.
Gollum : Suivez-moi…