Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Skyfall.
M : Où étiez vous encore fourré ?
James Bond : Je profitais de la mort. 007 au rapport, Madame.
Docteur Hall : Je suggère de commencer par de la libre association, tout simplement. Dîtes le premier mot qui vous vient à l’esprit. Par exemple, si je vous dis : journée. Vous direz ?
James Bond : Bousillée.
Docteur Hall : Je vois. Tirer ?
James Bond : Pistolet.
Docteur Hall : Agent ?
James Bond : Provocateur.
Docteur Hall : Femme ?
James Bond : Provocatrice.
Docteur Hall : Cœur ?
James Bond : Cible.
Docteur Hall : Oiseau ?
James Bond : Ciel.
Docteur Hall : M ?
James Bond : Morue.
Docteur Hall : Soleil ?
James Bond : Nager.
Docteur Hall : Lune ?
James Bond : Danser.
Docteur Hall : Meurtre ?
James Bond : Profession.
Docteur Hall : Pays ?
James Bond : Angleterre.
Docteur Hall : Skyfall ? Skyfall ?
James Bond : Classé.
Gareth Mallory : Juste une petite question. Pourquoi ne pas rester mort ? C’est une voie de sortie royale, allez vivre tranquillement quelque part. Peu d’agents de terrain ont le luxe de décrocher en douceur.
James Bond : Vous partez souvent en mission ?
Gareth Mallory : Inutile d’être agent de terrain pour voir ce qui crève les yeux. Il s’agit d’un sport de jeune. Vous avez été gravement blessé. Il n’y a aucune honte à avouer que vous avez perdu la main. La seule honte serait de l’avouer quand il sera trop tard.
Q : À chaque fois ça réveille la mélancolie en moi. Ce vénérable navire de guerre ignominieusement envoyé à la casse. Le temps qui passe inéluctable je dirais. Vous y voyez quoi ?
James Bond : Un bateau et un autre bateau.
Q : 007 ? Je suis votre nouveau quartier-maître.
James Bond : Vous plaisantez j’espère ?
Q : Parce que je ne porte pas de blouse ?
James Bond : Parce que vous êtes encore boutonneux.
Q : La question de mon épiderme n’est guère pertinente.
James Bond : Celle de vos compétences l’est.
Q : L’âge n’est en rien gage d’efficacité.
James Bond : Et la jeunesse n’est en rien gage d’innovation.
Q : J’ose arguer que je puisse faire plus de dégâts avec mon ordinateur portable et en pyjama avant ma première tasse de Earl Grey que vous en un an sur le terrain.
James Bond : Oh, alors à quoi je sers moi ?
Q : De temps en temps, il faut bien appuyer sur la gâchette.
James Bond : Ou pas. Difficile d’en juger quand on est en pyjama.
James Bond : Un pistolet et une radio… On peut pas dire que ce soit Noël avant l’heure.
Q : Vous espériez un stylo à bille qui explose ? On ne donne plus trop dans ce genre de trucs. Je vous souhaite une bonne mission, merci de rendre ce matériel en un seul morceau.
Séverine : Que savez-vous de la peur, au juste ?
James Bond : Absolument tout.
Séverine : Pas ce genre là non. Son genre à lui.
Raoul Silva : Salut James et bienvenue. Est-ce que l’île te plait ? Ma grand-mère aussi avait une île. Rien de bien extraordinaire, on en faisait le tour à pieds en une heure. Mais pour nous, pour nous c’était le paradis. Un été, on est allé la voir et on a découvert que les lieux étaient infestés de rats. Ils étaient venus sur un bateau de pêche et s’étaient gavés de noix de coco. Alors comment on chasse les rats d’une île ? C’est ma grand-mère qui m’a montré. On a enterré un baril de pétrole et mis un bâton sur le couvercle avec de la noix de coco comme appât. Alors les rats sont venus chercher la noix de coco et ils sont tous tombés dans le baril. Et au bout d’un mois on a attrapé tous les rats. Mais pour en faire quoi ? On jette le baril dans l’océan ? On le brûle ? Non. On le laisse comme ça. Les rats se mettent à crever de faim et au bout d’un moment, il s’entre-dévorent jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que deux. Les deux rescapés . Et après est-ce qu’on les tue ? Non. On les récupère, pour les remettre dans les cocotiers. Mais là ce ne sont plus des noix de coco qu’ils mangent, ce qu’ils veulent maintenant c’est du rat. On a modifié leur nature. Deux survivants, c’est ça qu’elle a fait de nous.
Raoul Silva : Tu as vu ce qu’elle t’a fait ?
James Bond : Au moins, elle ne m’a jamais ficelé à une chaise.
Raoul Silva : Elle ne sait pas ce qu’elle rate.
James Bond : Oui, on a tous besoin d’un hobby.
C’est quoi le tien ?
James Bond : La résurrection.
M : Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les Ministres. Aujourd’hui, je n’ai fait qu’entendre à quel point mon service était devenu obsolète. « Pourquoi faut-il des agents? La section double zéro n’est-elle pas un peu désuète? » Je n’ai, semble-t-il, pas le même monde sous les yeux que vous. Car le monde que je vois, en vérité, me fait très peur. J’ai peur car nos ennemis n’existent sur aucune carte. Nous ne savons plus à qui nous avons affaire. Ce ne sont plus des nations, ce sont des individus. Regardez autour de vous : qui craignez-vous? Distinguez-vous un visage, un uniforme, un drapeau ? Non, notre monde n’est pas plus transparent, mais plus opaque. Il se cache dans l’ombre. C’est dont là que nous devons nous battre ! Alors posez-vous cette question avant de nous déclarer bon pour le rebus : vous sentez-vous tellement à l’abri ? J’aurais une dernière chose à dire. Feu mon mari était un grand amateur de poésie. Cela a un peu déteint sur mes goûts, à mon corps défendant je dois l’avouer. Et en ces lieux aujourd’hui, il me revient quelque chose de Tennyson je crois : « Si nous ne sommes plus aujourd’hui cette force qui jadis remua ciel et terre. Ce que nous sommes, nous le sommes. Des cœurs héroïques d’une même trempe, affaiblis par le temps qui passe et la fatalité, mais fort par la volonté de lutter, d’explorer, de découvrir et de ne rien concéder ».
Kincade : On est censé se battre contre qui au juste ?
James Bond : Il n’y a pas de « on » qui tienne Kincade, ce n’est pas votre combat.
Kincade : Essaye donc de m’arrêter espèce de morveux qui pète plus haut que son cul.