Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film The dark knight : le chevalier noir.
Joker : Je crois que tout ce qui ne nous tue pas nous rend simplement plus bizarre.
Alfred : J’espère que moi vous ne me faîtes pas suivre durant mon jour de repos.
Bruce Wayne : Prenez-en un et vous verrez.
Alfred : Attention à vos limites maître Wayne.
Bruce Wayne : Batman n’a aucune limite.
Alfred : Pas vous, monsieur.
Bruce Wayne : Il vaut mieux que je les ignore.
Alfred : Et que va-t-il se passer le jour où vous les découvrirez ?
Bruce Wayne : On sait tous à quel point vous adorez dire : « Je vous l’avais bien dit ».
Alfred : Ce jour là maître Wayne, même moi je me tairais. Probablement.
Harvey Dent : Je suis maître de ma chance.
Harvey Dent : Bruce Wayne. Rachel m’a déjà tout dit sur vous.
Bruce Wayne : Pas tout, je l’espère.
Harvey Dent : Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser la peau du méchant.
Joker : Un petit tour de magie peut-être ? Ce crayon je vais le faire disparaître. Tada ! Il a dis-pa-ru.
Joker : Tu veux savoir d’où viennent ces cicatrices ? Mon père était un ivrogne et un sadique. Et un soir, alors qu’il est plus toc-toc que d’habitude, maman choppe le couteau de cuisine pour se défendre. Il n’apprécie pas. Il n’apprécie pas du tout. Ensuite, moi regardant, il lui enfonce le couteau dans un immense éclat de rire. Et il se tourne vers moi et il dit : « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il s’approche avec sa lame. « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il m’enfonce la lame dans la bouche. « Il faut mettre un petit sourire sur ce visage ». Et… pourquoi cet air si sérieux ?
Harvey Dent : Aucun ex fiancé psychotique donc je devrais être informé ?
Alfred : Oh si vous saviez.
Joker : Dans le temps j’avais une femme qui était magnifique, comme toi. Qui me disait que je ne devrais pas m’inquiéter autant, que je devrais sourire plus. Elle était accro aux jeux et elle s’est fait piéger par des requins. Un jour, ils lui ont lacéré le visage. On avait pas le fric pour la soigner. Elle l’a pas supportée. Mais je voulais juste revoir son sourire. Je voulais juste qu’elle sache que je me fichais des cicatrices. Alors, je me suis collé un rasoir dans la bouche et regarde… ce que je me suis fait. Et tu sais, je lui ai donné l’envie de vomir. Et elle s’est envolée. Mais maintenant je vois le bon coté. Maintenant je peux sourire en permanence. Ah ah ah, on fait un peu de résistance. J’aime bien ça.
Batman : Alors tu vas m’adorer.
Alfred : Certains ne rêvent que de voir le monde brûler.
Coleman Reese : Je veux dix millions de dollars par an jusqu’à la fin de mes jours.
Lucius Fox : Si j’ai bien compris, vous pensez que votre client qui fait partie des hommes les plus riches et les plus puissants du monde est en fait un justicier qui passe ses nuits à massacrer à mains nues de pauvres criminels ? Et c’est ce genre d’hommes que vous avez l’intention de faire chanter ? Bonne chance.
Harvey Dent : Face, tu sauves ta tête. Pile, je te dis adieu.
Bruce Wayne : Que vouliez-vous que je fasse ?
Alfred : Tenir le coup maître Wayne. Encaisser. On va vous arborer mais c’est à l’image de Batman. Il peut devenir le paria, il peut faire le choix dont nul autre n’est capable. Le bon choix.
Harvey Dent : Mais la nuit est sombre avant qu’apparaisse l’aube. Je vous promets que je vois pointer l’aube. Un jour le Batman devra rendre des comptes mais à nous tous et non à ce malade mental.
Alfred : Il est possible que Bruce et Monsieur Dent pensent que Batman a une mission beaucoup plus importante que de satisfaire les lubies d’un terroriste, mademoiselle. Même s’il doit en être détesté. C’est le sacrifice qu’il a choisi. Il n’est pas un héros, il est bien plus pour Gotham.
Joker : Ne parle pas comme eux, ce n’est pas toi. Même si tu en rêves. À leurs yeux, tu n’es qu’une bête de foire, comme moi. Pour l’instant, tu leur es utile, mais après… ils te chasseront, comme un pestiféré, au nom de leur moralité et de leur éthique. La bonne blague. Poubelle aux moindres petites emmerdes. Ils n’ont que la bonté que le monde daigne leur donner. Tu verras, quand tout ira mal. Ces gens soi-disant civilisés vont s’entre-dévorer. Tu vois ? Je ne suis pas un monstre… je n’ai fait que prendre les devants !
Alfred : Je vous prépare la Bat-moto monsieur ?
Bruce Wayne : En pleine journée Alfred ? Pas très subtil.
Alfred : La Lamborghini alors. Beaucoup plus subtil.
Joker : Tu me crois du genre à avoir un plan, moi ? Tu sais ce que je suis ? Un chien qui court après les voitures. Aucune idée de ce que je ferais si j’en attrapais une. Tu vois j’agis sans penser.
Joker : Entrouvre la porte à l’anarchie. Bouscule l’ordre établi et très vite le chaos le plus total règne. Et moi j’annonce le chaos. Et tu sais ce qu’il a pour lui le chaos ? Il est impartial.
Wuertz : Dent ? Nom d’un chien, je vous croyais mort.
Pile ou Face : Qu’à moitié.
Joker : Sais-tu à qui je dois ces cicatrices au fait ?
Batman : Non, mais je sais à qui tu devrais celles-là !
Joker : Tu refuses de me tuer par sentiment de noblesse des plus imaginaires. Alors que moi, je refuse de te tuer parce que tu es tellement amusant. On est voué, je crois, à lutter jusqu’à la fin des temps.
Pile ou Face : La seule chose morale dans un monde cruel, c’est le hasard : impartial, équitable, juste.
Batman : Gotham a besoin d’un vrai héros. Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser la peau du méchant. Je suis tout indiqué car je ne suis pas un héros, contrairement à Dent.
Jim Gordon : Parce qu’il est le héros que Gotham mérite mais pas encore celui qu’il faut pour ses citoyens alors on va le traquer. Car il est capable de l’endurer. Parce que ce n’est pas un héros. C’est un ange gardien silencieux. Un protecteur vigilant. Un chevalier noir.