Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film The dark knight rises.
Membre du congrès : Le maire va le larguer au printemps.
Foley : Ah oui ? Mais c’est un héros.
Membre du congrès : Héros de guerre et la paix règne.
Bruce Wayne : Vous voulez me caser avec une voleuse de bijoux.
Alfred : À force je vous caserais avec une chimpanzé si cela vous réconciliait avec le monde.
Bruce Wayne : C’est un monde qui n’a rien à m’offrir.
Alfred : Là est le problème. Vous avez remisé cape et cagoule mais sans tourner la page, sans vous chercher une autre vie, sans vous cherchez quelqu’un.
Bruce Wayne : Ce quelqu’un je l’avais trouvé.
Alfred : Je sais et vous l’avez perdu. Ça ça fait partie de la vie, monsieur. Mais ce n’est pas vivre ce que vous faîtes, c’est attendre, espérer que les choses se gâtent à nouveau. Vous vous rappelez votre départ de Gotham ? Bien avant tout ceci, avant Batman. Sept années d’absence et pendant sept années j’ai attendu, espéré que vous ne rentreriez pas. Je partais en congés tous les ans à Florence ; il y a un café sur les bords de l’Arno. Quand il faisait doux le soir j’allais y siroter un fernet-branca Je faisais le rêve fou qu’un beau jour, à une table voisine, je vous verrais… avec femme, voire quelques enfants. Vous ne diriez pas un mot et moi non plus. Mais nous saurions, l’étendue de votre victoire. Nous vous saurions heureux. Jamais je n’ai voulu que vous reveniez à Gotham. Depuis toujours je sais que cette ville ne vous apportera que souffrance et tragédie. Et je rêvais d’un peu mieux pour vous que cela… J’en rêve toujours.
Bane : Fouille-le puis je te tuerais.
Blake : Il faut savoir cacher sa rage. Apprendre à sourire dans la glace. C’est comme mettre un masque.
Selina Kyle : La tempête menace monsieur Wayne. Vous et vos amis devriez fermer les écoutilles car quand ça va éclater, vous vous demanderez comment vous avez pu garder la plus grosse part du gâteau et ne laisser que les restes à nous les autres.
Lucius Fox : Je lui ai donné un surnom : la Bat. Et oui monsieur Wayne, ce modèle se fait en noir.
Bruce Wayne : Vous craigniez que si je reprend du service, j’échoue ?
Alfred : Non, ce que je crains c’est que vous le souhaitiez.
Selina Kyle : Tu donnes ta langue au chat ?
Daggett : Salope et conne en plus.
Selina Kyle : Jamais on ne m’avait accusé d’être conne.
Batman : On ne tire pas, on ne tue pas.
Selina Kyle : Vous êtes pas un marrant.
Selina Kyle : Ma mère m’a toujours dit de pas monter dans la voiture d’un inconnu.
Batman : C’est pas une voiture.
Alfred : Monsieur, je me sers de la vérité. Peut-être qu’on devrait tous arrêter de jouer avec la vérité et la laisser éclater au grand jour. Je suis vraiment désolé.
Bruce Wayne : Désolé ? Vous espérez une franche poignée de mains ? Alors que vous venez de tout détruire.
Alfred : Non, non j’ai conscience de ce que ça implique.
Bruce Wayne : Et ça implique quoi ?
Alfred : Ça implique votre haine et ça implique de perdre quelqu’un pour qui j’ai eu de l’affection dès que j’ai entendu ses premiers cris résonner entre ces murs. Mais cela peut impliquer une dernière chose. C’est de vous sauver la vie et cela c’est le plus important.
Bruce Wayne : Adieu Alfred.
Daggett : Mais qu’êtes-vous ?
Bane : L’expiation de Gotham venue mettre fin au sursis de vie dont vous avez tous profité.
Daggett : Vous êtes le mal incarné.
Bane : Je suis le mal nécessaire.
Blake : Pourquoi le masque dès vos débuts ?
Bruce Wayne : Pour ne pas mettre en danger mes proches.
Blake : Mais vous étiez un solitaire, vous n’aviez pas de famille.
Bruce Wayne : Il y a toujours des gens à qui on tient et c’est quand on ne les a plus qu’on s’en rend compte. L’idée était de devenir un symbole. Batman pouvait être n’importe qui. C’était ça le but.
Bane : Tu crois que l’obscurité est ton alliée. Tu n’as fait qu’adopter la pénombre. Moi je suis né dedans, j’ai été façonné par elle. Je n’ai vu la lumière qu’à l’âge d’homme et alors elle m’a juste paru aveuglante.
Bruce Wayne : Qu’est-ce que t’attends ? Tue-moi.
Bane : Tu ne crains pas la mort. Tu lui ouvres les bras. Il te faut un châtiment plus dur.
Bruce Wayne : Tortionnaire.
Bane : Oui, mais pas de ta chair. De ton âme.
Bruce Wayne : Où suis-je ?
Bane : À ma maison où j’ai appris le désespoir. Et c’est ton tour. Il n’est pas pire enfer que cette prison pour une raison : l’espoir.
Bane : Quand tu auras bien conscience de l’étendue de ton échec, nous accomplirons le destin de Ra’s al Ghul : nous détruirons Gotham. Puis lorsque ce sera fait, lorsque Gotham sera réduit en cendres, je te donnerais le droit de mourir.
Jim Gordon : Il arrive un stade où tout bascule, où les structures te trahissent, où les règles ne sont plus des armes mais des entraves qui permettent aux voyous de prendre l’avantage. Toi aussi tu auras peut-être un jour à affronter ce genre de crise et à ce moment-là, je te souhaite d’avoir un ami digne de celui que j’ai eu. Qui soit prêt à plonger les mains dans la crasse pour que les tiennes restent blanches comme neige !
Prisonnier : Tu ne crains pas la mort et tu crois que ça fait ta force, ça fait ta faiblesse.
Bruce Wayne : Pourquoi ?
Prisonnier : Comment veux-tu bouger plus vite qu’il n’est possible, te battre plus longtemps qu’il n’est possible sans le plus puissant des moteurs de l’esprit ? La peur de la mort.
Crane : L’exil ou la mort ?
Jim Gordon : Crane, si vous imaginez que nous allons aller sur cette glace de plein gré, vous allez avoir une sacrée surprise.
Crane : La mort alors ?
Jim Gordon : Ça m’en a tout l’air.
Crane : Très bien. La mort par l’exil.
Lucius : Elle me plait votre petite amie.
Selina Kyle : Dans ses rêves oui.
Selina Kyle : Suivez-moi, ne vous sacrifiez pas. Ces citoyens de Gotham vous ne leur devez plus rien. Vous leur avez tout donné.
Batman : Pas tout non, pas encore.
Bane : Ainsi tu es revenu pour mourir avec ta ville.
Batman : Non, je suis revenu pour t’abattre.
Selina Kyle : Vous pouviez aller où vous voulez, être qui vous vouliez et il a fallu que vous reveniez.
Batman : Tout comme vous.
Selina Kyle : On doit être de bonne poire tous les deux.
Jim Gordon : Je ne me souciais pas de qui vous étiez.
Batman : Vous aviez raison.
Jim Gordon : Mais ne faut-il pas que les gens sachent quel héros les a sauvé ?
Batman : Le héros peut être en chacun, même en celui qui fait une chose aussi simple et rassurante que mettre un manteau sur les épaules d’un garçon et ainsi lui faire comprendre que le monde ne s’est pas écroulé.
Jim Gordon : Je vois une cité splendide et un peuple de génie se relever de cet abîme. Je vois des êtres pour lesquels j’ai donné ma vie paisibles, utiles, prospères et heureux. Je vois le sanctuaire qu’ils m’ont fait dans leurs cœurs et dans celui de leurs descendants pour maintes générations. C’est une bien, bien meilleure chose que j’accomplis que tous mes actes passés et c’est un bien, bien plus doux repos qui m’attend que tous ceux auxquels j’ai gouté.
Alfred : Pardon, j’ai pas été à la hauteur. J’avais votre confiance. Je n’ai pas été à la hauteur.
Blake : Les gens ne sauront jamais qui a sauvé la ville.
Jim Gordon : Ils le savent, ils savent qui c’était. C’était le Batman.