Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Batman v Superman : l’aube de la justice.
Bruce Wayne : Il y eu des temps célestes, les temps d’avant, emplit de merveilles : des diamants de la plus belle eau. Plus dure est la chute, la chute sur Terre. Et ce qui chute est déchu. Dans mon rêve, elles m’ont porté vers la lumière. Sublime mensonge.
Alfred : Les règles ont changé.
Bruce Wayne : Nous sommes des hors-la-loi, Alfred. Nous avons toujours été des hors-la-loi. Rien n’a changé.
Alfred : Oh que si, Monsieur. Absolument tout a changé. Des hommes tombent du ciel. Les dieux crachent la foudre. Des innocents meurent. C’est comme cela que ça commence, Monsieur. De la fureur, de la fièvre, un sentiment d’impuissance qui rend les hommes bien… cruels.
Clark Kent : Quel opinion avez-vous du Bat-justicier de Gotham ?
Bruce Wayne : Le Daily Planet. Tiens, est-ce qu’il est à moi ou à l’autre type ?
Clark Kent : On bafoue les libertés dans votre ville de Gotham. Les honnêtes gens vivent dans la peur.
Bruce Wayne : Mon petit, ne croyez pas tout ce qu’on vous dit.
Clark Kent : Mais je l’ai vu, Monsieur Wayne. Il se croit au-dessus des lois.
Bruce Wayne : De la part du Daily Planet, critiquer ceux qui se croient au-dessus des lois, c’est légèrement hypocrite, je dirais, non ? Dès que votre héros sauve un chat coincé dans un arbre, vous pondez un édito ronflant sur un extraterrestre qui, s’il le décide, peut tout mettre à feu et à sang. Et là on pourrait toujours courir pour essayer de l’en empêcher.
Clark Kent : Peu de gens dans le monde sont de votre opinion, Monsieur Wayne.
Bruce Wayne : Ça doit être mon côté Gotham, il faut comprendre qu’on a de mauvais souvenirs de monstres déguisés en clown.
Alfred : C’est la guerre que vous voulez ?
Bruce Wayne : C’est cet enfoiré qui a apporté la guerre chez nous, Alfred, il y a deux ans maintenant. Je dois vous rappeler le nombre de morts ? Ils se sont comptés par milliers. C’est quoi la suite ? Des millions ? Il a le pouvoir d’exterminer le genre humain et même s’il n’y avait ne serait-ce qu’un pourcent de risque qu’il soit notre ennemi, il faut se dire que c’est une absolue certitude ! IL faut l’abattre.
Alfred : Mais Monsieur, ce n’est pas lui notre ennemi !
Bruce Wayne : Aujourd’hui, non. En vingt ans à Gotham, Alfred, on a bien vu ce que veulent les promesses. Combien restent-ils de type bien ? Combien sont restés intègres ?
Batman : Dis-moi, il t’arrive de saigner ? Ça viendra.
Martha Kent : Je n’ai jamais voulu te confier à ce monde. Sois leur héros, Clark. Sois leur monument, sois leur ange. Sois tout ce qu’ils demandent ou ne sois rien de tout ça. C’est un monde à qui tu ne dois rien. Rien du tout.
Superman : Depuis tout ce temps, je n’ai fait que suivre le chemin que mon père m’a tracé. Justicier pour un fantôme. Persuadé que je dois faire le bien. Mais Superman n’a jamais existé. Il n’est qu’un rêve de fermier du Kansas.
Lois Lane : Ce rêve de fermier, il y a des gens qui n’ont que cela au monde. C’est leur unique lueur d’espoir. Ce symbole c’est important.
Superman : Il l’était dans mon monde mais mon monde n’existe plus.
Alfred : Ainsi s’effondre la maison Wayne.
Lois Lane : Mais vous êtes psychopathe.
Lex Luthor : Mot de trois syllabes qualifiant de trop grandes idées pour un esprit trop étroit.
Lex Luthor : Tu vas voler jusqu’à lui et vous vous battrez jusqu’à la mort. Cape rouge, cape noire, quelle belle affiche ! Le plus grand combat de gladiateurs de l’Histoire de l’humanité. Dieu affronte l’Homme. Le jour affronte la nuit. Le fils de Krypton affronte le Bat de Gotham !
Batman : Respire ça. C’est la peur. Tu n’es pas courageux. C’est propre à l’Homme.
Batman : Grâce à eux j’ai appris que le monde n’a de sens que si on lui en impose.
Superman : C’est mon monde. Tu es mon monde.
Diana Prince : L’Homme a forgé un monde où la solidarité n’a plus sa place.
Bruce Wayne : Le Bien est toujours en l’Homme. Nous nous battons, nous nous entretuons, nous nous trahisons les uns les autres mais nous pouvons tout reconstruire. Nous pouvons devenir meilleurs. Nous serons meilleurs. Il le faut.