Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Jurassic Park.
Achats.
John Hammond : J’ai dépensé sans compter !
John Hammond : Bienvenue à Jurassic Park.
Ian Malcolm : Écoutez, il y a une chose que l’histoire de l’évolution nous a apprise, c’est que la vie ne peut pas être contenue. La vie prend le large, la vie conquiert de nouveaux territoires, elle renverse toutes les barrières, c’est parfois pénible, c’est parfois dangereux… mais… enfin c’est comme ça.
John Hammond : C’est comme ça.
Henry : Vous insinuez qu’un groupe composé exclusivement d’animaux femelles peut se reproduire ?
Ian Malcolm : Non, non, non je dis simplement que la vie trouve… toujours un chemin.
Ian Malcolm : Ce manque d’humilité en face de la nature qui se manifeste ici…me terrifie.
Ian Malcolm : Mais vos savants étaient si préoccupés par ce qu’ils pourraient faire ou non qu’ils ne se sont pas demandés s’ils en avaient le droit.
John Hammond : Je veux dire, comment peut-on sentir qu’on est à l’aube d’une découverte et ne pas agir ?
Ian Malcolm : Ce qu’il y a de si beau dans la découverte, c’est un acte violent de pénétration qui marque au fer rouge ce qu’il explore. Ce que vous appelez découverte, je l’appelle viol de la nature.
Alan Grant : Le monde a changé si radicalement et nous courrons tous pour le rattraper. Je ne voudrais pas tirer de conclusion hâtive mais… le dinosaure et l’Homme… deux espèces séparées par 65 millions d’années d’évolution viennent tout d’un coup de se retrouver face à face, comment serait-il possible d’avoir la plus petite idée de ce qui va se passer ?
John Hammond : Je ne blâme pas les gens pour les erreurs qu’ils commettent mais qu’ils en assument les conséquences.
Ian Malcolm : Dieu crée les dinosaures. Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l’Homme. L’Homme détruit Dieu. L’Homme crée les dinosaures.
Ellie Sattler : Les dinosaures mangent l’Homme. La Femme hérite de la Terre.
Ian Malcolm : C’est vraiment un gros tas de merde.
Alan Grant : Ne faîtes plus un seul geste. Sa vision est basée sur le mouvement.
John Hammond : Avec ce parc, je voulais montrer quelque chose qui ne soit pas une illusion. Quelque chose de réel, quelque chose qu’ils puissent voir et toucher. Qui trouve sa réussite dans son mérite.
Ellie Sattler : Mais il ne suffit pas de concevoir ce projet, John. Il faut le vivre.
John Hammond : Ce n’est qu’un retard, c’est tout. Tous les grands parcs d’attractions ont des retards. Quand ils ont ouvert Disneyland en 1956, rien ne marchait. Rien.
Ian Malcolm : Oui, oui mais John, quand les pirates des Caraïbes se détraquent, les pirates ne dévorent pas les touristes.