Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film La chute du faucon noir.
Matthews : Qu’est-ce qui te gêne, Danny ?
Danny McKnight : Pas d’AC130, le jour au lieu de la nuit, l’heure où ils sont complétement défoncés au kath, un endroit où Aïdid peut lancer une contre-attaque en deux minutes… J’vois pas c’qui gêne !
Harrel : La vie peut pas être parfaite.
Danny McKnight : Ouais, pour vous là-haut culminer à plus de cinq-cents pieds, c’est pas parfait. Mais pour nous au sol, ça pardonne pas.
Matt Eversmann : Les mecs, je sais que c’est ma première mission en tant que leader d’unité mais c’est pas notre première mission ensemble. C’est du sérieux là, on est des rangers, pas ces petits ringards du training junior. On est l’élite et il est temps de le montrer.
Matt Eversmann : C’est quand même bizarre, une merveilleuse plage, un merveilleux soleil. Ce serait parfait pour des vacances.
Norm « Hoot » Gibson : À peu de choses près.
Matt Eversmann : Tu crois qu’on ne devrait pas être là.
Norm « Hoot » Gibson : Tu sais ce que je crois ? Je crois que peu importe ce que je crois. À la première balle qui te siffle aux oreilles, la politique et toutes ces conneries, t’en auras plus rien à branler.
Garrison : Bonne chance les petits ! Attention à vous ! Ne laissez personne sur place.
John Grimes : Qu’est-ce qu’il se passe ?
Twombly : Oh c’est rien ! Seulement ce qui est bizarre c’est qu’il fait jamais ça !
John Grimes : Oh, merde !
Shawn Nelson : Et pourquoi je dois rester dans ce merdier ?
Matt Eversmann : Parce que tu es fiable. Allez ! On y va !
Shawn Nelson : Qu’est-ce que c’est chiant d’être fiable !
Officier : Vas-y raconte moi.
Thomas : Je veux pas y retourner.
Officier : Thomas, tout le monde ressent les mêmes choses que toi, compris ? C’est votre comportement dans le feu de l’action qui fait toute la différence. C’est à toi de jouer.
Norm « Hoot » Gibson : Vous pensez trop, Sergent. Arrêtez parce que vous ne pouvez pas contrôler qui va se faire tuer ou pas, qui va tomber d’un hélicoptère ou pourquoi. Ça dépend pas de vous. La guerre, c’est comme ça.
Matt Eversmann : Tu vas repartir ?
Norm « Hoot » Gibson : Y a des hommes là-bas. Quand je serais rentré, et qu’on me demandera : »Eh Hoot ! Pourquoi tu vas te battre ? Pourquoi ? T’es camé ? T’es accro à la guerre ? ». Je ne répondrais pas un mot, putain. Pourquoi ? Ils ne comprendraient pas. Ils ne comprendraient pas pourquoi on le fait. Ils ne comprendraient pas qu’on le fait les uns pour les autres. Et c’est tout. Y’a rien d’autre à dire.
Matt Eversmann : Il m’a demandé : « Qu’est ce qui a changé ? Pourquoi on rentre au pays ? » J’ai répondu : « Rien ». Mais c’est faux, tu sais, je crois que tout a changé. Je sais que moi j’ai changé. Un ami m’a demandé avant que je ne vienne ici, juste au moment de l’embarquement, il m’a demandé : « Pourquoi on t’envoie faire la guerre d’un autre ? Vous croyez tous être des héros ? ». Sur le coup j’ai pas su quoi dire, mais s’il me le demandait encore, je dirais non. Je dirais : « Rien à battre de ça ». On ne demande pas à devenir un héros. Sauf que parfois, ça finit comme ça. Je parlerais à ton père et à ta mère quand je rentrerais, je te le promets.
Lettre d’un soldat à sa femme : Mon amour, tu es forte et tu t’en sortiras dans la vie. Je vous aime de tout mon cœur, toi et mes enfants. Aujourd’hui comme demain, que chaque jour grandisse davantage. Garde le sourire et n’abandonne jamais, même quand la vie te déprime. Alors pour finir, mon amour, ce soir, tu borderas chaleureusement nos enfants, dis leurs que je les aime, ensuite fais-leur un câlin pour moi. Souhaite leur bonne nuit et dis leur que Papa les embrasse.