L’air du vent – Paroles de la chanson – Pocahontas, une légende indienne.


pocahontas Disney bande originale soundtrack album

Fiche technique.

Compositeur : Alan Menken.
Paroles : Alan Menken et Stephen Schwartz.
Adaptation française : Luc Aulivier et Philippe Videcoq.
Sortie : 30 mai 1995.
Label : Walt Disney Records.
Film : Pocahontas, une légende indienne.



Clip.

L’air du vent.

Interprétée par Laura Mayne.

Pour toi, je suis l’ignorante sauvage.
Tu me parles de ma différence.
Je crois sans malveillance.
Mais si dans ton langage.
Tu emploies le mot sauvage.
C’est que tes yeux sont remplis de nuages.
De nuages.

Tu crois que la terre t’appartient toute entière.
Pour toi, ce n’est qu’un tapis de poussière.
Moi, je sais que la pierre, l’oiseau et les fleurs.
Ont une vie, ont un esprit et un cœur.



Pour toi, l’étranger ne porte le nom d’homme.
Que s’il te ressemble et pense à ta façon.
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes.
Es-tu sûr, au fond de toi, d’avoir raison ?

Comprends-tu le chant d’espoir du loup qui meurt d’amour.
Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?

Courons dans les forêts d’or et de lumière.
Partageons-nous les fruits mûrs de la vie.
La terre nous offre ses trésors, ses mystères.
Le bonheur ici-bas n’a pas de prix.

Je suis fille des torrents, sœur des rivières.
La loutre et le héron sont mes amis.
Et nous tournons, tous ensemble, au fil des jours.
Dans un cercle, une ronde à l’infini.

Là-haut, le sycomore dort.
Comme l’aigle royal, il trône impérial.

Les créatures de la nature ont besoin d’air pur.
Et qu’importe la couleur de leur peau.
Nous chantons tous en chœur les chansons de la montagne.
En rêvant de pouvoir peindre l’air du vent.
Mais la terre n’est que poussière.
Tant que l’homme ignore comment.
Il peux peindre en mille couleurs l’air du vent.



L’air du vent (final).

Interprétée par Native.

Tu crois que la terre t’appartient toute entière.
Pour toi, ce n’est qu’un tapis de poussière.
Moi, je sais que la pierre, l’oiseau et les fleurs,
Ont une vie, ont un esprit et un cœur.

Pour toi, l’étranger ne porte le nom d’homme.
Que s’il te ressemble et pense à ta façon.
Mais en marchant dans ses pas tu te questionnes.
Es-tu sûr, au fond de toi, d’avoir raison ?

Comprends-tu le chant d’espoir du loup qui meurt d’amour.
Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?

Courons dans les forêts d’or et de lumière.
Partageons-nous les fruits mûrs de la vie.
La terre nous offre ses trésors, ses mystères.
Le bonheur ici-bas n’a pas de prix.

Je suis fille des torrents, sœur des rivières.
La loutre et le héron sont mes amis.
Et nous tournons, tous ensemble, au fil des jours.
Dans un cercle, une ronde à l’infini.

Comprends-tu le chant d’espoir du loup qui meurt d’amour.
Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?
Peux-tu peindre en mille couleurs l’air du vent ?

Là-haut, le sycomore dort.
Comme l’aigle royal, il trône impérial.

Les créatures de la nature ont besoin d’air pur.
Peu importe la couleur de leur peau.
Nous chantons tous en chœur les chansons de la montagne.
En rêvant de pouvoir peindre l’air du vent.
Mais la terre n’est que poussière.
Tant que l’homme ignore comment.
Il peux peindre en mille couleurs l’air du vent.