Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film La Belle et la Bête.
Narrateur : Il était une fois dans un pays lointain, un jeune prince qui vivait dans un somptueux château. Bien que la vie l’ait comblé de tous ses bienfaits, le prince était un homme capricieux, égoïste et insensible. Un soir d’hiver, une vieille mendiante se présenta au château et lui offrit une rose en échange d’un abri contre le froid qui faisait rage. Saisit de répulsion devant sa misérable apparence, le prince ricana de son modeste présent et chassa la vieille femme. Elle tenta de lui faire entendre qu’il ne fallait jamais se fier aux apparences et que la vraie beauté venait du coeur. Lorsqu’il la repoussa pour la seconde fois, la hideuse apparition se métamorphosa sous ses yeux en une créature enchanteresse. Le prince essaya de se faire pardonner mais il était trop tard car elle avait compris la sécheresse de ce coeur déserté par l’amour. En punition, elle le transforma en une bête monstrueuse et jeta un sort sur le château ainsi que sur tous ses occupants. Horrifié par son aspect effroyable, la Bête se terra au fond de son château avec pour seule fenêtre sur le monde extérieur un miroir magique. La rose qui lui avait été offerte était une rose enchantée qui ne se flétrirait qu’au jour de son vingt-et-unième anniversaire. Avant la chute du dernier pétale de la fleur magique, le prince devrait aimer une femme et se faire aimer en retour pour briser le charme. Dans le cas contraire, il serait condamné à garder l’apparence d’un monstre pour l’éternité. Plus les années passaient et plus le prince perdait tout espoir d’échapper à cette malédiction. Car en réalité, qui pourrait un jour aimer… une bête.
Gaston : Les femmes ne sont pas faites pour lire, dès qu’elles ont des idées dans la tête, c’est l’horreur.
Belle : Tu es un analphabète, basique et primaire.
Gaston : Merci du compliment.
Lumière : Bonsoir cher monsieur et bienvenue au château !
Maurice : Qui a dit ça ?
Lumière : C’est moi !
Maurice : Qui moi ?
Lumière : Hello !
La Bête : Qu’est-ce que vous regardez ?
Maurice : Rien, rien…
La Bête : Menteur, vous venez vous repaître du spectacle de la bête ?
Lumière : Nom d’une chandelle !
Lumière : Oh ! Une jeune fille !
Big Ben : Mais je le sais que c’est une jeune fille.
Lumière : Eurêka ! Mais c’est elle ! C’est elle que nous attendions et qui est venue rompre le charme.
Big Ben : Ne nous emballons pas !
Belle : Attendez ! Gardez-moi en otage.
La Bête : Vous ! Vous voudriez… prendre sa place ?
Maurice : Non, non ne fais pas ça !
La Bête : Si je dis oui, vous le laisserez partir ?
Belle : Oui. Mais contre votre promesse d’être à jamais ma prisonnière.
La Bête : Laissez-moi vous regarder.
Belle : Non Belle, ne fais pas ça c’est de la folie !
La Bête : Vous avez ma parole.
Big Ben : Le dîner est servi.
Lumière : Maître, avez-vous pensé que cette fille pourrait être celle qui romprait le charme dont vous êtes prisonnier ?
La Bête : Naturellement quelle question ! Je ne suis pas fou.
Lumière : Bon alors, vous tombez amoureux d’elle, elle tombe amoureuse de vous et paf, le charme est rompu ! Nous redevenons humain avant minuit !
Mrs Samovar : Ne nous emballons pas Lumière, ces choses là prennent du temps.
Lumière : Mais la rose a déjà commencé à se flétrir.
La Bête : Tout cela ne sert à rien, elle est tellement belle et moi… mais regardez-moi !
La Bête : Alors, où est-elle ?
Big Ben : Qui donc ? Ah oui, la fille oui… notre invitée. Et bien, à ce propos, il se trouve qu’en vertu de l’atmosphère un peu tendu, elle ne viendra pas.
La Bête : Quoi ?
La Bête : Tu rêves mon pauvre ami, elle te voit comme un tortionnaire et comme un monstre. C’est sans espoir.
Lumière : Mais qui dit dîner dit toujours… musique !
Lumière : Ma chère mademoiselle. C’est avec une profonde fierté et immense plaisir que nous vous invitons ce soir. Détendez-vous, ne pensez plus à rien, prenez place. Et laissez la haute gastronomie française vous présenter votre dîner.
La Bête : Mais ça fait mal !
Belle : Si vous restiez tranquille, ça ferait moins mal !
La Bête : Si vous ne vous étiez pas sauvée, ça ne serait pas arrivé.
Belle : Et si vous ne m’aviez pas fait peur, je ne me serais pas sauvée !
Lumière : Et voilà, vous avez l’air d’un… d’un…
La Bête : D’un imbécile.
Big Ben : La dame, de vos pensées.
La Bête : Je l’ai laissé partir.
Big Ben : Oui, oui très bien… Vous quoi ? Mais pour quelle raison, c’est insensé !
La Bête : Il le fallait.
Big Ben : Mais enfin…mais pourquoi ?
La Bête : Parce que… je l’aime.
Belle : Il ne ferait pas de mal à une mouche. Je sais qu’il a l’air méchant mais il est très tendre et très gentil. C’est mon ami.
Gaston : Si je ne te connaissais pas, je pourrais croire que tu éprouves des sentiments pour ce monstre.
Belle : Ce n’est pas lui le monstre Gaston, c’est toi !
Gaston : Ton heure a sonné la Bête. Belle est à moi !
La Bête : Tu… tu es revenue.
Belle : Je voulais te sauver, j’ai eu tellement peur. Oh tout est ma faute, si seulement j’étais arrivée plus tôt.
La Bête : Finalement, c’est peut-être mieux comme ça.
Belle : Non, je t’en prie, tais-toi. Tu vas guérir très vite. Je suis près de toi, tout va s’arranger, je te le promets.
La Bête : Au moins, je t’aurais revu une dernière fois.
Belle : Non, non ! Je t’en prie, je t’en supplie, ne m’abandonne pas… Je t’aime.