Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Harry Potter et le Prince de sang-mêlé.
Ron Weasley : C’est combien ça ?
Fred et George Weasley : Cinq gallions.
Ron Weasley : Combien pour moi ?
Fred et George Weasley : Cinq gallions.
Ron Weasley : Je suis votre frère !
Fred et George Weasley : Dix gallions !
Drago Malefoy : Ta maman ne t’a jamais dit que c’était mal d’écouter les conversations, Potter ? Petrificus Totalus ! Ah oui, elle est morte avant que tu puisses essuyer la bave de ton menton.
Harry Potter : Comment je suis ?
Luna Lovegood : Extraordinairement normal.
Harry Potter : Génial.
Albus Dumbledore : Jadis il y avait un jeune homme qui comme vous s’est assis dans cette salle, a emprunté les couloirs de ce château, à dormi sous son toit. Au yeux de tous il semblait être un élève comme un autre, il s’appelait Tom Jedusor. Aujourd’hui bien sûr, il est connu dans le monde entier sous un autre nom. Et c’est pourquoi, ce soir, tandis que je me tiens devant vous, je me rappelle une chose importante. Chaque jour, à chaque heure, à l’instant même peut être, les forces du mal essayent de pénétrer les murs de ce château. Mais en fin de compte, leur meilleur arme c’est vous. Gardez bien cela à l’esprit.
Harry Potter : Je n’ai jamais dit que ça ne m’intéressait pas et je ne dors pas avec.
Ron Weasley : Si c’est vrai, j’aime bien bavarder avant de me coucher mais toi tu fais que lire ton fichu bouquin. C’est comme si j’étais avec Hermione.
Minerva McGonagall : Pourquoi quand il arrive quelque chose faut-il que ce soit toujours vous trois ?
Ron Weasley : Croyez-moi professeur, je me pose la même question depuis six ans.
Albus Dumbledore : J’ai juré de vous protéger, j’ai fait le Serment inviolable.
Drago Malefoy : J’ai pas besoin qu’on me protège. J’ai été choisi pour ça ! Parmi tous les autres. Moi ! Je ne le décevrais pas.
Albus Dumbledore : Vous avez peur, Drago. Vous essayez de le cacher mais c’est évident, laissez-moi vous aider.
Drago Malefoy : Non, j’ai été choisi, ce sera ma gloire !
Albus Dumbledore : Oh être jeune et connaître les maux qu’amour inflige.
Horace Slughorn : C’est une élève qui m’avait offert Francis. Un jour de printemps, j’ai trouvé un bocal sur mon bureau avec juste quelques centimètres d’eau dedans et flottant, à la surface, un pétale de fleur. Tandis que je le regardais, il s’est enfoncé. Juste avant qu’il ne touche le fond, il s’est transformé en un minuscule poisson. C’était de la belle magie, magnifique à voir. Ce pétale venait d’un lys ou d’une Lily, votre mère. Le jour où je suis descendu, où j’ai trouvé le bocal vide, c’était le jour où votre mère… je sais pourquoi vous êtes là, mais je ne peux rien pour vous. Cela causerait ma perte.
Harry Potter : Vous savez pourquoi j’ai survécu, monsieur ? La nuit où j’ai eu ça ? Parce qu’elle était là. Parce qu’elle a donné sa vie pour me sauver. Parce qu’elle a refusé de s’écarter. Parce que son amour était plus fort que Voldemort.
Horace Slughorn : Pas ce nom s’il vous plaît !
Harry Potter : Je n’ai pas peur de ce nom, professeur. Je vais vous dire quelque chose, quelque chose que les autres n’ont fait que deviner. C’est vrai, je suis l’élu. Moi seul peut le détruire. Mais pour y arriver, j’ai besoin de savoir ce que Tom Jedusor vous a demandé il y a des années dans votre bureau et ce que vous lui avez dit. Soyez courageux, professeur ! Soyez courageux comme ma mère ! Sinon, vous ne lui faîtes pas honneur. Sinon, elle est morte pour rien. Sinon, le bocal restera vide à jamais.
Tom Jedusor : J’étais dans la bibliothèque, l’autre soir. Dans la réserve, en fait. Et j’ai lu une chose assez étrange sur une forme de magie très rare. Ça s’appelle, si j’ai bien comprit, un horcruxe.
Horace Slughorn : Je vous demande pardon ?
Tom Jedusor : Un horcruxe. Je suis tombé sur ce mot dans un texte et je ne l’ai pas totalement comprit.
Horace Slughorn : Je ne sais pas ce que vous lisiez, Tom, mais c’est de la magie très noire. Vraiment très noire.
Tom Jedusor : C’est pourquoi c’est vous que je suis venu voir.
Horace Slughorn : Un horcruxe est un objet dans lequel une personne a caché une partie de son âme.
Tom Jedusor : Monsieur, je ne vois pas très bien comment ça fonctionne.
Horace Slughorn : On sépare son âme en deux, on cache une partie dans un objet. En faisant cela, on est protégé si on est attaqué et que son corps est détruit.
Tom Jedusor : Protégé ?
Horace Slughorn : La partie de l’âme qui est cachée continue de vivre. Autrement dit, on ne peut pas mourir.
Tom Jedusor : Et comment fait-on pour séparer son âme en deux, monsieur ?
Horace Slughorn : Je pense que vous connaissez déjà la réponse, Tom.
Tom Jedusor : Un meurtre.
Horace Slughorn : Oui, tuer déchire votre âme. C’est un acte contre-nature.
Tom Jedusor : On ne peut diviser l’âme qu’une seule fois ? Par exemple, est-ce que sept…
Horace Slughorn : Sept fois ? Par la barbe de Merlin, c’est suffisamment horrible de penser qu’on peut tuer une seule personne ! Alors diviser son âme en sept morceaux ? Tout cela est purement théorique, n’est-ce pas, Tom ? Ce n’est qu’une hypothèse ?
Tom Jedusor : Bien sûr, monsieur. Ce sera notre petit secret.
Albus Dumbledore : Severus, aidez-moi.
Severus Rogue : Avada Kedabra !
Harry Potter : J’avais jamais remarqué à quel point cet endroit était beau.