Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Interstellar.
Murphy : J’ai cru que tu étais le fantôme.
Cooper : Non, ça n’existe pas les fantômes ma puce.
Murphy : D’après grand-père, on peut être visité par des fantômes.
Cooper : Bah peut-être bien que c’est que ton grand-père est à deux doigts d’en devenir un lui-même.
Cooper : Qu’est-ce qui va pas, Murphy ?
Murphy : Pourquoi vous m’avez donné un prénom qui porte malheur ?
Cooper : Comment ça ?
Murphy : Et la loi de Murphy alors ?
Cooper : La loi de Murphy ça veut pas dire qu’un malheur va arriver mais que tout ce qui peut arriver va arriver. Et ça nous allait très bien comme idée.
Murphy : On pourrait le relâcher, non ? Il faisait de mal à personne.
Cooper : Il faut qu’il apprenne à s’adapter, comme tout à chacun.
Cooper : Dans le temps on levait les yeux en se cherchant une place parmi les étoiles. Là on fait que baisser les yeux.
Cooper : On trouvera un moyen professeur, on a toujours trouvé.
John Brand : Animé par la croyance inébranlable que la Terre nous appartient.
Cooper : Elle n’est pas qu’à nous, non, mais on y est chez nous.
Cooper : Là il est temps de me dire votre plan pour sauver le monde.
John Brand : Nous ne sommes pas censés sauver le monde, nous sommes censés le quitter.
Cooper : Je serais là-haut combien de temps ?
John Brand : Dur à dire, des années.
Cooper : J’ai des enfants, professeur.
John Brand : Alors allez là-haut, allez les sauver.
Cooper : L’Homme est né sur Terre, rien ne l’oblige à y mourir.
Cooper : Quand on vous a eu, toi et ton frère, ta mère a dit un truc que j’ai jamais vraiment compris, elle a dit : « Maintenant, notre rôle est d’être des souvenirs pour eux deux ». Aujourd’hui je crois que je sais ce qu’elle voulait dire. Dès qu’on est parent, on est le fantôme de l’avenir de ses enfants.
Cooper : Une pour toi, une pour moi. Quand je serais en hyper sommeil là-haut ou quand j’irais à la vitesse de la lumière ou près d’un trou noir, le temps va changer pour moi, il va s’écouler plus lentement. Quand je reviendrais, on comparera.
Murphy : Le temps passera pas pareil pour nous deux ?
Cooper : C’est ça. Tu vois, d’ici à ce que je rentre, peut-être qu’on aura le même âge toi et moi, ouais. Imagine un peu ça. Oh Murphy…
Murphy : Tu sais pas du tout quand tu reviendras ? Tu n’as aucune idée !
Amelia : On va passer beaucoup de temps ensemble à l’avenir.
Cooper : Faut qu’on apprenne à se causer.
Amelia : Et aussi à se taire. Je suis franche, c’est tout.
John Brand : N’entre pas docilement dans cette douce nuit. Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler à l’agonie de la lumière. Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes car ses mots n’ont point forgé de foudre, il n’entre pas docilement dans cette douce nuit. Hurle, hurle, à l’agonie de la Lumière.
Amelia : Chercheur, explorateur… ça me plait ça. On va au devant de grands obstacles en allant là-haut. La mort oui mais pas le mal.
Cooper : La nature ne peut pas être maléfique.
Amelia : Non, redoutable, effrayante mais elle ignore le mal.
Amelia : Le temps est relatif, OK ? Il peut s’étirer ou se contracter, en aucun cas il ne peut faire marche arrière. En aucun cas, non. Et la seule chose qui soit en mesure de traverser les dimensions tel que le temps c’est la gravité.
Amelia : Vous ne pouviez pas lui dire que vous alliez sauver le monde ?
Cooper : Non. Le jour où on devient parent, on se trouve face à une évidence, c’est qu’on veut tout faire pour que ses enfants se sentent à l’abri.
Murphy : T’es un sale enfoiré. Si j’ai jamais enregistré un de ces trucs quand tu répondais encore, c’est que je t’en voulais d’être parti et après ton silence radio, c’était mieux que j’assume mon choix et ça a été le cas. Mais aujourd’hui, c’est mon anniversaire et c’est pas n’importe lequel parce que tu m’avais dit… tu m’as dit un jour qu’on aurait peut-être le même âge le jour où tu reviendrais et aujourd’hui j’ai l’âge que tu avais quand t’es parti. Alors le moment serait bien choisi pour que tu reviennes.
Amelia : Écoutez-moi quand je dis que l’amour n’est pas une invention à nous. Il est observable et tout puissant. Il a forcément un sens.
Cooper : Oui l’amour à un sens. Il y a éducation, des enfants, le lien social, l’utilité sociale…
Amelia : Nous aimons nos morts, quelle utilité sociale cela a ?
Cooper : Aucune.
Amelia : Peut-être que l’amour a un sens plus profond et que nous ne pouvons pas encore comprendre. Ce peut être un témoignage, la marque d’une dimension supérieure que nous ne pouvons pas encore consciemment percevoir. Je vais à l’autre bout de l’univers attirée par un homme parti il y a dix ans et qui selon toute vraisemblance est mort. De toutes les choses que nous percevons seul l’amour transcende les dimensions temporelles et spatiales. Peut-être qu’on devrait accepter en confiance ce qu’on ne saisit pas encore.
Docteur Mann : Les machines ne sont pas douées pour l’improvisation car on ne peut pas programmer la peur de mourir. L’instinct de survie est de loin notre première source d’inspiration. Tenez, vous par exemple. Un père dont l’instinct de survie s’étend jusqu’à ses enfants. Et d’après la recherche, quelle est la dernière chose que vous verrez avant de mourir ? Vos enfants. Leurs visages, à l’instant de la mort, votre cerveau va faire un effort un peu plus grand pour survivre pour vos enfants.
TARS : Les humains ont jamais trouvé qu’un seul moyen d’aller quelque part, c’est de sacrifier quelque chose.
Murphy : Personne voulait me croire mais je savais que tu reviendrais.
Cooper : Pourquoi ?
Murphy : Parce que mon papa me l’avait promis.
Cooper : Et maintenant je suis là, je suis là.
Murphy : Non… aucun parent ne devrait à avoir assister à la mort d’un enfant.
Murphy : Brand. Elle est là-bas, elle établit son campement. Seule dans une galaxie inconnue. Peut-être qu’en ce moment même elle se prépare pour le long somme à la lumière de notre nouveau soleil dans notre nouveau chez nous.