Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Invictus.
Nelson Mandela : Le passé est le passé. Nous regardons vers l’avenir maintenant.
Nelson Mandela : Le pardon aussi commence là. Le pardon libère l’âme. Il fait disparaître la peur et c’est pourquoi le pardon est une arme tellement puissante.
Brenda Mazikubo : Vous mettez en jeu votre autorité politique. Vous mettez en jeu votre avenir en tant que dirigeant.
Nelson Mandela : Le jour où j’aurais peur de prendre ce risque, c’est que je ne serais plus digne de gouverner.
Brenda Mazikubo : Alors ce rugby n’est rien d’autre qu’un calcul politique ?
Nelson Mandela : Non, c’est un calcul humain. Si nous leur enlevons tout ce qu’ils chérissent : les Springboks, leur drapeau, leur hymne. Nous ne ferons que renfoncer le cycle de la peur entre nous. Je ferais ce qu’il faut pour mettre fin à ce cycle. Sinon cela nous détruira.
Francois Pienaar : Je voudrais porter un toast au goût de la défaite. Buvez, souvenez-vous en et faîtes vous la promesse de ne plus jamais y goûter.
Nelson Mandela : Comment va votre famille Hendrick ?
Hendrick : Très bien monsieur. Et la vôtre ?
Nelson Mandela : J’ai une très, très grande famille. 42 millions.
Nelson Mandela : Quel est votre philosophie en tant que leader ? Comment menez-vous votre équipe à faire de son mieux ?
Francois Pienaar : Par l’exemple. J’ai toujours diriger en montrant l’exemple, monsieur.
Nelson Mandela : Oh, c’est bien. C’est ce qu’il faut faire. Mais comment les amenez à faire mieux que ce qu’ils croient être capable de faire ? Ça c’est très difficile, je trouve. Par l’inspiration, peut-être. Comment peut-on être inspiré et pousser vers l’excellence quand on n’a pas d’autres choix ? Comment peut-on stimuler tout ce qui nous entoure ? J’ai tendance à penser que c’est en puisant dans le travail des autres.
Nerine : Alors, comment il est ?
Francois Pienaar : Il est… je crois que j’avais jamais rencontré quelqu’un comme lui.
Nerine : Oui, j’espère. Mais qu’est-ce qu’il voulait ? De quoi est-ce qu’il a parlé ? Il a parlé de rugby ? De quoi il t’a parlé ? François ! J’ai l’impression de parler à un mur, qu’est-ce qu’il t’a dit ?
Francois Pienaar : Je crois qu’il veut qu’on gagne la coupe du monde.
Nelson Mandela : Si je ne change pas alors que les circonstances l’imposent, comment puis-je attendre des autres qu’ils changent ?
Nelson Mandela : Dans les ténèbres qui m’enserrent.
Noires comme un puits où l’on se noie.
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient.
Pour mon âme invincible et fière.
Dans de cruelles circonstances.
Je n’ai ni gémi ni pleuré.
Meurtri par cette existence.
Je suis debout bien que blessé.
En ce lieu de colère et de pleurs.
Se profile l’ombre de la mort.
Et je ne sais ce que me réserve le sort.
Mais je suis et je resterai sans peur.
Aussi étroit soit le chemin.
Nombreux les châtiments infâmes.
Je suis le maître de mon destin.
Je suis le capitaine de mon âme.
Nerine : Tu penses à demain ?
Francois Pienaar : Non, demain est déjà écrit. Dans un sens ou dans l’autre. Je me demandais comment on peut passer trente ans dans une cellule minuscule et en sortir prêt à pardonner à ceux qui vous avaient mis là.
Francois Pienaar : Relevez la tête ! Regardez-moi dans les yeux ! Vous entendez ? Écoutez votre pays ! Plus que sept minutes ! Sept minutes ! On défend, on défend, on défend ! Ça y est ! C’est notre destin !