Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Le Hobbit : la bataille des cinq armées.
Elrond : Mais Seigneur Saroumane, nous devons le traquer et le détruire une fois pour toutes.
Saroumane : Sans l’Anneau de pouvoir, Sauron ne tiendra jamais plus la Terre du Milieu sous son emprise. Partez maintenant, je me charge de Sauron.
Bilbon : Balin, si Thorin avait l’Arkenstone. Enfin, si on la trouvait. Serait-ce bénéfique ?
Balin : Cette pierre surpasse tout, c’est le sommet de cet immense trésor. Elle donne du pouvoir à celui qui la possède. Cela le sortirait-il de sa folie ? Non Bilbon. J’ai bien peur que ça ne l’aggrave. Peut-être vaut-il mieux qu’elle demeure perdue.
Bilbon : Je l’ai ramassé dans le jardin de Beorn.
Thorin : Vous l’avez gardé tout ce temps.
Bilbon : Je le planterais dans mon jardin à Cul-de-sac.
Thorin : C’est un pauvre trophée à rapporter chez soi.
Bilbon : Un jour il poussera. À chaque fois que je le verrais, je me souviendrais de tout ce qui est arrivé de bon, de mauvais et quelle chance j’ai eu de rentrer chez moi.
Thranduil : Je ne suis pas venu pour vous, je suis venu reprendre un bien qui m’appartient.
Bard : Et votre conscience, ne vous dit-elle pas que notre cause est juste ? Mon peuple vous a aidé et protégé et en retour vous ne lui avez apporté que la ruine et la mort.
Thorin : Si les Hommes de Lacville nous ont aidé c’est que dans l’espoir d’avoir de l’or !
Bard : Un marché a été conclu !
Thorin : Un marché ? Quel choix avions-nous à part brader nos droits pour des vivres et des couvertures ? Mettre en gage notre avenir en échange de notre liberté, vous appelez ça un marché honnête ? Dites-moi, Bard le tueur de dragon, pourquoi respecterais-je de telles conditions ?
Bard : Parce que vous avez donné votre parole. Cela ne signifie rien ?
Thorin : Nous avons repris Erebor, maintenant nous le défendons.
Bard : De quoi parlez-vous ?
Thranduil : Je vois que vous ne connaissez pas les magiciens. Ils sont comme le tonnerre d’hiver qui gronde au loin porté par un vent furieux et dont le fracas nous alarme mais parfois un orage n’est qu’un orage, rien d’autre.
Bard : Pourquoi feriez-vous cela ? Vous ne nous devez rien.
Bilbon : Je ne le fais pas pour vous. Je sais que les nains peuvent être obstinés, bornés, difficiles, ils sont méfiants et cachotiers. Ils ont les pires manières qu’on puisse imaginer mais ils sont aussi courageux, gentils et d’une loyauté sans failles. J’ai de l’affection pour eux et si je peux je les sauverais.
Bilbon : Je suis un cambrioleur mais un cambrioleur honnête.
Bard : Quelle est votre réponse ? Vous voulez la paix ou la guerre ?
Thorin : Je veux la guerre.
Thorin : Beaucoup meurent dans une guerre. La vie a peu de valeur. Mais un trésor comme celui-ci ne se mesure pas en vie perdue. Ce trésor vaut plus que tout le sang versé.
Dwalin : Tu es là dans cette vaste salle avec une couronne sur la tête, pourtant tu n’as jamais été aussi peu digne de respect.
Kili : Je ne me cacherais pas derrière un mur de pierres pendant que d’autres mènent nos batailles à notre place ! Ce n’est pas dans mon sang, Thorin.
Thorin : Non, en effet. Nous sommes les descendants de Durin et le peuple de Durin ne fuit pas devant une bataille.
Thorin : Rien ne m’autorise à vous demander cela mais allez-vous me suivre une dernière fois ?
Tauriel : Vous croyez que votre vie vaut plus que la leur alors que l’amour en est absent ? Il n’y a pas d’amour en vous.
Thorin : Si plus de gens chérissaient leur foyer plus que l’or, ce monde serait un endroit plus joyeux.
Legolas : Je… je ne rentre pas.
Thranduil : Où iras-tu ?
Legolas : Je ne sais pas.
Thranduil : Va au Nord. Trouve les Dunedain. Il y a un jeune rôdeur là-bas que tu devrais rencontrer. Son père Arathorn était un homme bien. Son fils promet d’être un homme d’exception.
Legolas : Comment s’appelle-t-il ?
Thranduil : On le surnomme Grand Pas. Son vrai nom, tu devras le découvrir toi-même.
Tauriel : Ils voudront l’enterrer.
Thandruil : Oui.
Tauriel : Si c’est cela l’amour, je n’en veux pas. Que l’on m’en libère, par pitié. Pourquoi cela fait-il tant souffrir ?
Thandruil : Parce que cet amour est vrai.
Gandalf : Vous êtes une belle personne, Monsieur Sacquet, et je vous aime beaucoup. Mais vous n’êtes qu’un petit bonhomme dans un monde bien vaste.