Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Le Hobbit : un voyage inattendu.
Bilbon : J’étais toujours ponctuel en ce temps là. Ma vie était des plus respectables et rien d’inattendue ne survenait jamais.
Bilbon : Bonjour.
Gandalf : Qu’entendez-vous par là ? Me souhaitez-vous le bonjour ou affirmez-vous que c’est une bonne journée que je le veuille ou non ? Ou peut-être que vous voulez dire que vous vous sentez bien aujourd’hui en particulier ? Ou tout simplement qu’aujourd’hui est une journée où il faut être bon ?
Bilbon : Tout cela à la fois, je suppose. Puis-je vous aider ?
Gandalf : C’est ce que nous verrons. Je cherche quelqu’un pour prendre part à une aventure.
Gandalf : Vous m’avez demandé de trouver le quatorzième homme de cette compagnie et j’ai choisi Monsieur Sacquet. Il a plus de ressources que ne le suggèrent les apparences et beaucoup plus à offrir que vous ne l’imaginez ou même qu’il ne l’imagine.
Thorin : Je ne peux garantir sa sécurité.
Gandalf : Je comprends.
Thorin : Et je ne serais pas responsable de son sort.
Gandalf : Entendu.
Bilbon : « Conditions : paiement à la livraison jusqu’à concurrence d’un quatorzième de la totalité des profits s’il y en a ». Ça me semble honnête. « La présente compagnie ne sera pas tenue pour responsable des blessures subies qui pourraient s’ensuivre y compris mais non limité à des lacérations ? Une éviscération ? Incinération ? »
Bofur : Oh oui, il fait fondre la chair sur vos os en un clin d’œil.
Gandalf : Le monde n’est pas dans vos livres et dans vos cartes, il est là, dehors.
Gandalf : Toutes les bonnes histoires méritent d’être enjolivées. Vous aussi vous aurez quelques histoires à raconter quand vous reviendrez.
Bilbon : Me promettez-vous que je reviendrais ?
Gandalf : Non. Et si vous revenez, vous ne serez plus le même.
Thorin : Je n’échangerais pas un seul de ces Nains contre une armée des Monts de Fer. Quand j’ai fait appel à eux, ils ont accourus. De la loyauté, de l’honneur, un cœur vaillant, c’est tout ce que je demande.
Bilbon : Je pars pour une aventure !
Gandalf : Votre village est derrière vous, désormais. Le monde est devant.
Balin : Nous étions peu à avoir survécu et je me suis dit alors : « Il y en a un que je pourrais suivre. Il y en a un que je pourrais appeler Roi ».
Thorin : Où êtes-vous allés si je ne suis pas indiscret ?
Gandalf : Voir plus avant.
Thorin : Et qu’est-ce qui vous a fait revenir ?
Gandalf : Un regard en arrière.
Gandalf : Le vrai courage n’est pas de savoir quand supprimer une vie mais quand en épargner une.
Galadriel : Pourquoi le Semi-Homme ?
Gandalf : Je ne sais pas. Saroumane pense que seul un grand pouvoir peut tenir le Mal en échec. Mais ce n’est pas ce que j’ai découvert. Je crois que ce sont les petites choses, les gestes quotidiens des gens ordinaires qui nous préservent du Mal. De simples actes de bonté et d’amour. Pourquoi Bilbon Sacquet ? Peut-être est-ce parce que j’ai peur et qu’il me donne du courage.
Bilbon : J’aurais du rester chez moi…
Bofur : Votre village vous manque ? Je sais que c’est dur…
Bilbon : Non, vous ne savez pas, vous ne comprenez pas, aucun de vous ne comprend, vous êtes des Nains ! Vous ne connaissez que cette vie. Vous vivez sur les routes sans jamais vous installez nulle part, vous n’avez pas de chez vous ! Oh excusez-moi…
Bofur : Non c’est vrai, nous n’avons pas de chez nous…
Bilbon : Alors on pourrait faire un concours d’énigmes. Oui, seulement vous et moi.
Gollum : Oui, oui, seulement ça et moi.
Bilbon : Oui, oui, et si je gagne, vous me montrez comment sortir, oui.
Gollum : Oui, oui ! Et si ça perd, que se passe-t-il ? Oh si ça perd mon précieux, nous le mangerons. Si le Sacquet perd, nous le mangerons tout entier !
Bilbon : Entendu.
Thorin : Je veux savoir, pourquoi êtes-vous revenus ?
Bilbon : Je sais que vous doutez de moi, que c’est le cas depuis le début. C’est vrai, je pense souvent à Cul-de-sac. Mes livres me manquent et mon fauteuil, mon jardin. Je suis chez moi là-bas. C’est mon foyer. Alors je suis revenu parce que vous n’en avez aucun de chez vous. On vous l’a pris. J’essaierais de vous aider à le reprendre.
Thorin : Vous ! Qu’est-ce qui vous a pris ? Vous avez failli être tués ! Ne vous ai-je pas dit que vous seriez un fardeau ? Que vous ne pourriez survivre dans les terres sauvages ? Que vous n’avez pas votre place parmi nous ? Je ne me suis jamais autant trompé de ma vie. Je suis navré d’avoir douter de vous.
Bilbon : Non, non j’aurais aussi douté de moi. Je ne suis pas un héros ou un guerrier, pas même un cambrioleur.