Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Sweeney Todd : le diabolique barbier de Fleet Street.
Achats.
Mrs. Lovett : Barker qu’il s’appelait, Benjamin Barker.
Sweeney Todd : Quel a été son crime ?
Mrs. Lovett : La sottise.
Sweeney Todd : Cela faisait quinze années que je vivais l’enfer, injustement condamné aux travaux forcés. Quinze années que je vivais dans l’espoir de retrouver mon foyer, ma femme et mon enfant.
Mrs. Lovett : Ouais, on ne peut guère dire que le temps a été particulièrement tendre avec vous Monsieur Barker.
Sweeney Todd : Non ! Pas Barker, cet homme est mort. C’est Todd maintenant, Sweeney Todd, et il s’est promis d’obtenir vengeance.
Sweeney Todd : Enfin, mon bras m’est rendu en entier.
Juge Turpin : Vous avez lorgné ma pupille Johanna, vous l’avez lorgné ! Si, monsieur, vous l’avez lorgné.
Anthony : Mes intentions étaient louables.
Juge Turpin : Vos intentions ne m’intéressent guère.
Bailli Bamford : Votre établissement est à Fleet Street, vous dîtes ?
Sweeney Todd : C’est cela.
Bailli Bamford : Alors Monsieur Todd, je ne manquerais pas d’y passer avant que la semaine s’achève.
Sweeney Todd : Vous serez le bienvenue bailli Bamford et je vous garanti que vous aurez sans débourser le moindre sou le rasage le plus net de votre existence.
Bailli Bamford : Merci monsieur le juge, c’était la sentence appropriée.
Juge Turpin : Était-il coupable ?
Bailli Bamford : Et bien dans le cas contraire, il aura sans doute commis de quoi mériter la corde.
Mrs. Lovett : Vous êtes malade ! Tuer un homme qui ne vous avait point fait de mal !
Sweeney Todd : Il m’a reconnu, je l’ai employé ici, jadis. Il a essayé de me faire chanter. La moitié de ma recette.
Mrs. Lovett : Oh dans ce cas, ça change tout à l’affaire. J’ai bien cru que vous étiez devenu maboule.
Sweeney Todd : Nous vivons une époque redoutable Madame Lovett, une mesure redoutable s’impose.
Anthony : Ne crains rien, on ne te reconnaîtra pas, tu es en lieu sûr.
Johanna : En lieu sûr ? Il suffit de prendre la fuite pour que nos rêves deviennent réalité ?
Anthony : C’est ce que j’espère oui.
Johanna : Je n’ai jamais eu de rêve, moi. Que des cauchemars.
Anthony : Johanna, quand nous serons loin d’ici, nos fantômes s’envoleront à jamais.
Johanna : Non Anthony, ils ne s’envolent jamais.
Sweeney Todd : Un petit coup de rasoir ?
Sweeney Todd : Ce sont les années qui m’auront transformé, monsieur. Et puis je suppose que le visage d’un barbier, le visage d’un prisonnier, d’un chien, n’est pas des plus mémorables.