Découvrez les répliques les plus marquantes, les plus connues ou les plus amusantes du film Batman begins.
Bruce Wayne : Et quelle voie votre Ra’s al Ghul propose-t-il ?
Henri Ducard : La voie d’un homme qui partage sa haine profonde pour le mal et qui souhaite ne servir que la vraie justice : la voie de la Ligue des ombres.
Bruce Wayne : Des justiciers.
Henri Ducard : Non, non, non. Un justicier n’est qu’un homme égaré dans une course effrénée vers son autosatisfaction. On peut le détruire ou l’enfermer mais si vous dépassez votre condition d’être humain, si vous vous consacrez entièrement à un idéal et si vous êtes insaisissables, là seulement vous serez devenus autre chose.
Bruce Wayne : C’est-à-dire ?
Henri Ducard : Une légende, monsieur Wayne.
Henri Ducard : Cette insupportable colère qui étouffe le chagrin au point que le souvenir de l’être aimé n’est plus qu’un poison dans tes veines et un jour tu te surprend à souhaiter que la personne aimée n’aie jamais existé pour être libéré de ta peine.
Henri Ducard : La colère décuple ta puissance, mais si tu la laisses te guider, elle va te détruire.
Rachel : Là il ne s’agit pas de justice, il s’agirait plutôt de vengeance.
Bruce Wayne : C’est parfois la même chose.
Rachel : Non Bruce, c’est jamais la même chose. La justice apporte l’harmonie et la vengeance sert uniquement à te soulager.
Henri Ducard : Tu as peur de ta propre force et de ta propre colère.
Bruce Wayne : Je ne suis pas un exécuteur.
Henri Ducard : Ta pitié est une faiblesse que tes ennemis ne partageront pas.
Bruce Wayne : C’est pourquoi elle a tant d’importance. Elle seule peut nous rendre différent.
Bruce Wayne : L’homme a besoin de spectaculaire pour sortir de son apathie et je ne peux agir en tant que Bruce Wayne. On peut m’ignorer, on peut me détruire en tant qu’homme fait de chair et de sang mais un symbole… en tant que symbole je deviens incorruptible. Je deviens éternel.
Alfred : Quel symbole ?
Bruce Wayne : Quelque chose d’élémentaire, quelque chose de terrifiant.
Richard Earle : Bruce ? Mais vous êtes mort !
Bruce Wayne : Navré de vous décevoir.
Lucius : Qu’est-ce que vous en dîtes ?
Bruce Wayne : Il se fait en noir ce modèle ?
Alfred : Des chauve-souris, pourquoi ?
Bruce Wayne : Elles m’évoquent la peur. L’heure est venue pour mes ennemis de la partager.
Bandit : Merde, t’es quoi toi ?
Batman : Je suis Batman.
Batman : L’autre moitié de la drogue était pour quoi ?
Arnold Flass : J’ai jamais su, j’en sais rien, je le jure devant Dieu !
Batman : Devant moi !
Alfred : Votre nom doit rester respectable !
Bruce Wayne : Mon nom m’est bien égal.
Alfred : Ce n’est pas que le votre monsieur, votre père le portait. C’est tout ce qu’il reste de lui. Ne le détruisez pas.
Alfred : Pourquoi tombons-nous, monsieur ? C’est pour mieux apprendre à nous relever.
Batman : Qui que je sois au fond de moi, je ne suis jugé que par mes actes.
Henri Ducard : As-tu enfin appris à faire ce qui est nécessaire ?
Batman : Je ne vais pas vous tuer mais rien ne m’oblige à vous sauver.
Rachel : Après j’ai découvert ton masque.
Bruce Wayne : Batman n’est qu’un symbole, Rachel.
Rachel : Non, je parle de ce masque. Ton vrai visage est celui que les criminels craignent aujourd’hui. L’homme que j’aimais, l’homme qui a disparu n’est jamais revenu. Mais peut-être est-il toujours là quelque part. Peut-être qu’un jour quand Gotham n’aura plus besoin de Batman, je le reverrais.
Gordon : Que faîtes vous de l’escalade ?
Batman : De l’escalade ?
Gordon : Quand on aura des semi-automatiques ils se paieront des automatiques. Quand on portera du Kevlar, ils se paieront des balles perforantes.
Batman : Alors ?
Gordon : Alors vous portez un masque et vous sautez de toit en toit. Tenez un exemple : vols à main armée, double homicide, un certain goût pour la mise en scène, tout comme vous, et il laisse sa carte de visite.
Batman : Je m’en charge.
Gordon : Je ne vous ai jamais dit merci.
Batman : Et vous n’aurez jamais à le faire.