Dans les productions Disney se cachent des références, des clins d’oeil, des personnages d’autres films…voici ceux du film Il était une fois.
Il était une fois est à lui seul un hommage appuyé à de nombreux grands classiques des studios Disney.
C’est donc sans surprise que la scène d’ouverture du film reprend la séquence du traditionnel livre de conte, prouvant ainsi l’évidente estime que porte ce long-métrage à Blanche-Neige et les Sept Nains, à La Belle au Bois dormant ou encore à Cendrillon.
Profitons de cette introduction pour découvrir les quelques références faites au premier long-métrage d’animation des studios Disney : Blanche-Neige et les Sept Nains.
À l’instar de la reine du film de 1937, la méchante Narissa se transforme elle aussi en différents personnages tout au long du récit et notamment en vieille sorcière.
Que ce soit au naturel ou déguisé, on ne peut que constater qu’il y a un sacré air de famille entre ces deux protagonistes.
Continuons avec ce discret hommage rendu aux compositeurs de Blanche-Neige.
Frank Churchill, Leigh Harline et Paul J. Smith apparaissent ainsi brièvement dans cette scène à travers le nom du cabinet d’avocats pour lequel travaille Robert, le prince charmant de Manhattan.
Poursuivons avec cette séquence où Giselle se fait offrir une pomme d’amour empoisonnée.
Si la pomme fait directement référence à Blanche-Neige, la jolie princesse d’Andalasia aurait dût se méfier et regarder de plus près le fruit qu’elle tient dans la main, car le visage morbide qui si trouve ne présage vraisemblablement rien de bon.
Toujours en lien avec le premier long-métrage d’animation des studios Disney, la séquence animée de Giselle regardant à travers des diamants n’est pas sans rappeler celle mettant en scène Simplet lorsque les nains travaillent à la mine.
Enfin, terminons avec Blanche-Neige et les Sept Nains grâce à cette dernière référence.
Si vous avez besoin d’aide dans vos tâches quotidiennes, n’hésitez plus à chanter à votre fenêtre pour appeler vos amis de la forêt.
Si cela a marché pour Blanche-Neige en 1937 et pour Giselle en 2007, il n’y a pas de raison pour que ça ne fonctionne pas pour vous aujourd’hui.
Poursuivons avec ce qui semble être la princesse préférée de Morgan, la fille de Robert, à savoir Belle de La Belle et la Bête.
Comme l’attestent ces images, une poupée et la robe de l’héroïne du film de 1991 se trouvent bel et bien dans la chambre de la jeune demoiselle.
Pour décorer sa maison d’Andalasia, Giselle a décidé de mettre une rose sous une cloche de verre.
Une idée déco qui ne vient pas vraiment de Valérie Damidot, mais bien du long-métrage d’animation, La Belle et la Bête.
Avant de partir avec sa dulcinée, Edward vérifie que rien ne gâche son magnifique sourire charmeur.
Un peu comme Gaston d’ailleurs qui, avant de se « marier » avec Belle, n’hésite pas à faire une petite pause devant le miroir.
Et comment parler de La Belle et la Bête sans parler de la fameuse scène du bal ? Une évidente référence à ce classique intemporel, aussi bien pour le contexte que pour la façon dont la séquence est filmée.
Enfin, connaissez-vous cette femme que l’on aperçoit à la télévision au Grand Duke Hotel ?
Il s’agit de Paige O’Hara, la voix de Belle dans ses apparitions en version originale.
D’ailleurs, les personnages présents dans ce soap se prénomment Jerry, Angela et Ogden, en référence à Jerry Orbach, la voix de Lumière, Angela Lansbury, la voix de Mme Samovar et David Ogden Stiers, la voix de Big Ben.
Et cette femme, là connaissez-vous ? Sam, la secrétaire de Robert est ici interprétée par Jodi Benson, connu dans l’univers Disney comme étant la voix d’Ariel dans les films et la série tirés de la franchise de la petite sirène.
C’est d’ailleurs à ses côtés que la musique « Partir là-bas » se fera entendre lorsque Giselle s’émerveillera a coté de l’aquarium présent à l’accueil du cabinet d’avocat.
Bon ok, connaître Jodi Benson n’est pas forcément chose aisée, mais ce chien, vous dit-il quelque chose ?
Il s’agit d’une peluche faisant référence à Max, le chien d’Éric dans la petite sirène.
On retrouve également ce type de chien dans la série de films faisant suite au long-métrage des studios Disney : Quelle vie de Chien !
Restons avec Ariel grâce à cette petite balade en bateau à cœur de Central Park.
Une scène nautique et romantique qui n’est pas sans rappeler celle de la célèbre chanson Embrasse la.
Passons maintenant à un tout autre dessin animé grâce au Grand Duke Hotel dans lequel loge le prince Edward lors de sa visite dans le monde moderne.
Un établissement dont le nom fait une brève référence au personnage du grand-duc (Grand Duke en anglais) du film d’animation Cendrillon.
Difficile de parler de Cendrillon sans évoquer les taches ménagères. Et lorsque Giselle s’adonne au plaisir du ménage, elle le fait en chantant et en faisant virevolter des centaines de bulles de savon.
Un peu à la manière de notre princesse à la pantoufle de verre finalement …
Et pour finir avec ce film d’animation, parlons un peu de Nancy, la fiancée de Robert, qui a pour nom de famille Tremaine, tout comme la méchante belle-mère de Cendrillon, Lady Tremaine.
Passons maintenant à la Belle au Bois dormant.
Si la reine Narissa rend hommage à la sorcière de Blanche-Neige, elle le fait aussi à la méchante du film de 1959, non seulement par son aspect et par ses apparitions, mais aussi par sa transformation en dragon dont voici un visuel.
Poursuivons notre tour d’horizon des clins d’œil d’Il était une fois avec une affreuse grosse bêbette toute verte.
L’ogre, qui poursuit Giselle au début du film, semble avoir déjà embêté un grand nombre de princesses auparavant.
En témoignent ses vêtements qui s’agrémentent de nombreuses robes et accessoires appartenant à diverses demoiselles bien connues de l’univers Disney.
Bleu : Aurore
Jaune : Cendrillon
Rouge : Ariel
Vert : Blanche-Neige
Rose : Belle
Dans la série référence en pagaille, cette reporter de télévision se nomme dans le film Mary Ilene Caselotti, un clin d’oeil à Mary Costa, la voix d’Aurore dans la Belle au bois dormant, à Ilene Woods, la voix de Cendrillon et à Adriana Caselotti, la voix de Blanche-Neige.
Connaissez-vous ce vieux monsieur en costume jaune ? Il s’agit d’un des ramoneurs du film culte Mary Poppins !
Permettez-moi de profiter de cette magnifique transition pour vous parler de Mary Poppins avec notamment cette vieille femme qui nourrit les pigeons de Central Park.
Il s’agit là d’un petit clin d’oeil à la scène du film de 1964 où une pauvre dame donne à manger aux oiseaux durant la musique « Feed the Birds ».
Ce couple qui est en train de divorcer porte le nom de Banks, une petite référence aux parents de Jane et Michaël dans Mary Poppins.
Continuons à percer les mystères d’il était une fois avec cette séquence animée où une grenouille tombe dans une bassine de mousse et ressort avec une couronne sur la tête.
Une séquence qui laisse introduire le long-métrage d’animation alors en développement et sorti 2 ans plus tard : La princesse et la Grenouille.
Et dans la série « Référence Teaser » voici cette scène qui devrait vous rappeler quelque chose.
Une tour et des longs cheveux blonds, ça ne vous parle toujours pas ?
Il s’agit pourtant d’un petit clin d’oeil à Raiponce, le long-métrage des studios Disney qui était alors en cours de production.
Abordons maintenant La Belle et le Clochard. Souvenez-vous du nom du fameux restaurant italien dans lequel Clochard invite sa charmante Lady. La célèbre et romantique pizzeria Bella Notte fait ici aussi une courte apparition.
Et pour finir avec les clins d’oeil aux films d’animation Disney, voici une autre femme inconnue du grand public, mais dont la voix n’est pas si étrangère aux fans que nous sommes. Il s’agit de Judy Kuhn, la voix chantée de Pocahontas.
Il est temps maintenant de parler des détails du long-métrage en lui même et commençons par cette séquence du début du film où Giselle imagine son prince charmant à l’aide d’un mannequin.
Si le prince Edward se prédestine à porter cet uniforme, c’est cependant Robert, l’avocat de Manhattan, qui en aura le privilège lors du bal final. Comme quoi, l’homme idéal n’est pas forcément celui qu’on pense !
Situé dans le comté d’Orange dans l’état de Californie, Anaheim, où se situe le célèbre parc d’attractions Disneyland Resort, a pour indicatif régional le numéro 714.
Une référence dont le film ne se prive pas grâce notamment à cette séquence où Edward frappe aux portes afin de retrouver sa charmante princesse.
Adeptes des parcs d’attractions, nous terminerons ce dossier avec cette image qui devrait vous rappeler quelque chose ?
Il s’agit en effet d’une petite allusion aux cadrans des ascenseurs de la tour de la terreur, allant, eux aussi, jusqu’au 12e étage !